À paraître

Vie imaginaire
1e édition

Par : Natalia Ginzburg

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  • Nombre de pages264
  • PrésentationBroché
  • Poids0.244 kg
  • Dimensions11,6 cm × 17,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-35654-132-1
  • EAN9782356541321
  • Date de parution05/09/2025
  • ÉditeurYPSILON
  • TraducteurMuriel Morelli

Résumé

Le plus obstinément combatif des livres de Natalia Ginzburg - son troisième et dernier recueil d'écrits de non- fiction (après Les petites vertus et Ne me demande jamais) il est paru en 1974 en Italie et resté inédit en français jusqu'aujourd'hui. Le texte qui clôt le volume, un mémorable exercice d'autobiographie, lui donne son titre : Vie imaginaire - qui tout de suite, de ce côté des Alpes, nous fait penser à Marcel Schwob que Ginzburg avait certainement lu.
Mais ce titre, si pensif et nuancé, est aussi un titre à interpréter à l'envers : car, en effet, dans chacun des trente textes réunis dans ce volume par Natalia Ginzburg elle-même, l'autrice intervient avec la péremption hésitante qui rend sa voix unique, sur la vraie vie quotidienne d'un présent daté d'il y a tout juste un demi-siècle et qui retentit terriblement encore de nos jours. Devant des débats différemment complexes et semblables - mêmes questions, diverses options et points de vue - on se demande : qu'est-ce que sa prise de parole et son regard sur la société d'il y a 50 ans en disent sur la nôtre d'aujourd'hui ? C'est effrayant par moments, dérangeant souvent, intéressant toujours.
Natalia Ginzburg raconte son Moravia, sa Morante, son Pavese... dit ce qui signifie pour elle le mot liberté et la ville de Rome... prend position, exprime et explique ses choix moraux, devant des dilemmes politiques tragiques qui s'imposent à chacun de nous.
Le plus obstinément combatif des livres de Natalia Ginzburg - son troisième et dernier recueil d'écrits de non- fiction (après Les petites vertus et Ne me demande jamais) il est paru en 1974 en Italie et resté inédit en français jusqu'aujourd'hui. Le texte qui clôt le volume, un mémorable exercice d'autobiographie, lui donne son titre : Vie imaginaire - qui tout de suite, de ce côté des Alpes, nous fait penser à Marcel Schwob que Ginzburg avait certainement lu.
Mais ce titre, si pensif et nuancé, est aussi un titre à interpréter à l'envers : car, en effet, dans chacun des trente textes réunis dans ce volume par Natalia Ginzburg elle-même, l'autrice intervient avec la péremption hésitante qui rend sa voix unique, sur la vraie vie quotidienne d'un présent daté d'il y a tout juste un demi-siècle et qui retentit terriblement encore de nos jours. Devant des débats différemment complexes et semblables - mêmes questions, diverses options et points de vue - on se demande : qu'est-ce que sa prise de parole et son regard sur la société d'il y a 50 ans en disent sur la nôtre d'aujourd'hui ? C'est effrayant par moments, dérangeant souvent, intéressant toujours.
Natalia Ginzburg raconte son Moravia, sa Morante, son Pavese... dit ce qui signifie pour elle le mot liberté et la ville de Rome... prend position, exprime et explique ses choix moraux, devant des dilemmes politiques tragiques qui s'imposent à chacun de nous.
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