Vie des formes
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- Nombre de pages169
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.108 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-228-93707-8
- EAN9782228937078
- Date de parution29/01/2025
- CollectionPetite Bibliothèque Payot
- ÉditeurPayot
Résumé
Précis, poétique, érudit, philosophique, chaque livre de Henri Focillon (1881-1943) propose à ses lecteurs une aventure de l'esprit. Vie des formes paraît en 1934, à Paris, chez Ernest Leroux. Focillon a 53 ans. C'est son grand-oeuvre, l'oeuvre d'une vie, où cet historien et philosophe de l'art, l'un des plus importants du XXe siècle, ramasse tout son savoir autour d'une seule - mais complexe, mais immense - question : qu'est-ce qu'une oeuvre d'art ? Walter Benjamin, qui l'avait lu attentivement, voyait dans Vie des formes une rupture.
On y décèlera aussi l'influence de Bergson, dont Focillon était proche, et avec lequel il partageait une parole magnétique qui attirait les foules à chacun de ses cours à l'université ou au Collège de France.
On y décèlera aussi l'influence de Bergson, dont Focillon était proche, et avec lequel il partageait une parole magnétique qui attirait les foules à chacun de ses cours à l'université ou au Collège de France.
Précis, poétique, érudit, philosophique, chaque livre de Henri Focillon (1881-1943) propose à ses lecteurs une aventure de l'esprit. Vie des formes paraît en 1934, à Paris, chez Ernest Leroux. Focillon a 53 ans. C'est son grand-oeuvre, l'oeuvre d'une vie, où cet historien et philosophe de l'art, l'un des plus importants du XXe siècle, ramasse tout son savoir autour d'une seule - mais complexe, mais immense - question : qu'est-ce qu'une oeuvre d'art ? Walter Benjamin, qui l'avait lu attentivement, voyait dans Vie des formes une rupture.
On y décèlera aussi l'influence de Bergson, dont Focillon était proche, et avec lequel il partageait une parole magnétique qui attirait les foules à chacun de ses cours à l'université ou au Collège de France.
On y décèlera aussi l'influence de Bergson, dont Focillon était proche, et avec lequel il partageait une parole magnétique qui attirait les foules à chacun de ses cours à l'université ou au Collège de France.