Vers une Eglise sans prêtres. La crise du clergé séculier en France (1945-1978)
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- Nombre de pages325
- PrésentationBroché
- Poids0.515 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN2-86847-963-4
- EAN9782868479631
- Date de parution09/09/2004
- CollectionHistoire
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
La crise du clergé est un aspect majeur d'une "crise catholique" qui commence à faire l'objet de recherches. Tarissement des vocations puis "départs" massifs de prêtres, tels sont les phénomènes spectaculaires d'un long déclin dont Martine Sevegrand a recherché les origines dans les années quarante. Après les études déjà anciennes du sociologue et prêtre Julien Potel, voici des statistiques précises non seulement sur le nombre des vocations mais aussi sur le phénomène largement occulté des défections.
En moins de vingt ans, des milliers de prêtres ont démissionné ou ont été privés de leur ministère. Grâce à des documents restés souvent confidentiels, ce livre suit la crise de l'intérieur de l'institution ecclésiale et pose une question : pourquoi la hiérarchie n'a-t-elle pas voulu réformer le statut du clergé séculier, car experts, sociologues, pasteurs et même quelques théologiens ont, très tôt, sonné l'alarme ? La deuxième partie de l'ouvrage permet de suivre les événements dans l'espace d'un diocèse, celui de Dijon, qui a vu partir, en quinze ans, plus de 10 % de son clergé.
Pour la première fois, on y suivra, concrètement, le déploiement de la crise, du début des années soixante à la fin du pontificat de Paul VI, en 1978. Pour la première fois aussi, un historien donne la parole aux prêtres qui ont choisi de partir. A l'heure où chaque diocèse de France n'ordonne plus, en moyenne, un prêtre par an, cette étude historique apporte bien des éclaircissements. Avec le soutien du CNL
En moins de vingt ans, des milliers de prêtres ont démissionné ou ont été privés de leur ministère. Grâce à des documents restés souvent confidentiels, ce livre suit la crise de l'intérieur de l'institution ecclésiale et pose une question : pourquoi la hiérarchie n'a-t-elle pas voulu réformer le statut du clergé séculier, car experts, sociologues, pasteurs et même quelques théologiens ont, très tôt, sonné l'alarme ? La deuxième partie de l'ouvrage permet de suivre les événements dans l'espace d'un diocèse, celui de Dijon, qui a vu partir, en quinze ans, plus de 10 % de son clergé.
Pour la première fois, on y suivra, concrètement, le déploiement de la crise, du début des années soixante à la fin du pontificat de Paul VI, en 1978. Pour la première fois aussi, un historien donne la parole aux prêtres qui ont choisi de partir. A l'heure où chaque diocèse de France n'ordonne plus, en moyenne, un prêtre par an, cette étude historique apporte bien des éclaircissements. Avec le soutien du CNL
La crise du clergé est un aspect majeur d'une "crise catholique" qui commence à faire l'objet de recherches. Tarissement des vocations puis "départs" massifs de prêtres, tels sont les phénomènes spectaculaires d'un long déclin dont Martine Sevegrand a recherché les origines dans les années quarante. Après les études déjà anciennes du sociologue et prêtre Julien Potel, voici des statistiques précises non seulement sur le nombre des vocations mais aussi sur le phénomène largement occulté des défections.
En moins de vingt ans, des milliers de prêtres ont démissionné ou ont été privés de leur ministère. Grâce à des documents restés souvent confidentiels, ce livre suit la crise de l'intérieur de l'institution ecclésiale et pose une question : pourquoi la hiérarchie n'a-t-elle pas voulu réformer le statut du clergé séculier, car experts, sociologues, pasteurs et même quelques théologiens ont, très tôt, sonné l'alarme ? La deuxième partie de l'ouvrage permet de suivre les événements dans l'espace d'un diocèse, celui de Dijon, qui a vu partir, en quinze ans, plus de 10 % de son clergé.
Pour la première fois, on y suivra, concrètement, le déploiement de la crise, du début des années soixante à la fin du pontificat de Paul VI, en 1978. Pour la première fois aussi, un historien donne la parole aux prêtres qui ont choisi de partir. A l'heure où chaque diocèse de France n'ordonne plus, en moyenne, un prêtre par an, cette étude historique apporte bien des éclaircissements. Avec le soutien du CNL
En moins de vingt ans, des milliers de prêtres ont démissionné ou ont été privés de leur ministère. Grâce à des documents restés souvent confidentiels, ce livre suit la crise de l'intérieur de l'institution ecclésiale et pose une question : pourquoi la hiérarchie n'a-t-elle pas voulu réformer le statut du clergé séculier, car experts, sociologues, pasteurs et même quelques théologiens ont, très tôt, sonné l'alarme ? La deuxième partie de l'ouvrage permet de suivre les événements dans l'espace d'un diocèse, celui de Dijon, qui a vu partir, en quinze ans, plus de 10 % de son clergé.
Pour la première fois, on y suivra, concrètement, le déploiement de la crise, du début des années soixante à la fin du pontificat de Paul VI, en 1978. Pour la première fois aussi, un historien donne la parole aux prêtres qui ont choisi de partir. A l'heure où chaque diocèse de France n'ordonne plus, en moyenne, un prêtre par an, cette étude historique apporte bien des éclaircissements. Avec le soutien du CNL