Né à Vichy le 29 août 1881, Valery Larbaud est poète, nouvelliste, romancier et traducteur. Héritier d'une famille fortunée, il parcourt l'Europe à partir de 1898 à grands frais, continent qu'il chante dans Poèmes par un riche amateur ou Ouvres françaises de M. Barnabooth, avant de publier un roman, Fermina Márquez, et un premier recueil de nouvelles (Enfantines). Il fréquente tous les milieux littéraires. Polyglotte, il fait connaître en France des ouvres majeures de la littérature étrangère, dont celles de Samuel Butter et de James Joyce. Devenu aphasique en 1935, il finit sa vie paralysé. Il reçoit le Grand Prix national des Lettres en 1952 et meurt à Vichy en 1957.
Valery Larbaud-Jean Royère. Correspondance I (1908-1918)
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages185
- PrésentationBroché
- Poids0.255 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-84516-553-3
- EAN9782845165533
- Date de parution01/05/2012
- CollectionCahier Valéry Larbaud
- ÉditeurPU Blaise-Pascal
- AnnotateurGil Charbonnier
Résumé
Le présent Cahier publie la première partie (1908-1918) de l'abondante correspondance échangée entre Valery Larbaud et Jean Royère. Les lettres suivantes paraîtront dans le prochain Cahier. Celles-ci évoquent la vie mouvementée de la Phalange, la revue fondée en 1906 par Jean Royère. Tout en défendant les valeurs symbolistes, celui-ci accueillit dans es pages poètes et prosateurs d'horizons divers assurant ainsi l'éclectisme et l'ouverture de la revue.
Cet échange ici présenté offre un panorama de la vie littéraire particulièrement riche en ce début de XXe siècle, témoigne du foisonnement de revues et de leurs rivalités. Il nous fait assister également à l'entrée de Larbaud en littérature, comme romancier et comme critique.
Cet échange ici présenté offre un panorama de la vie littéraire particulièrement riche en ce début de XXe siècle, témoigne du foisonnement de revues et de leurs rivalités. Il nous fait assister également à l'entrée de Larbaud en littérature, comme romancier et comme critique.
Le présent Cahier publie la première partie (1908-1918) de l'abondante correspondance échangée entre Valery Larbaud et Jean Royère. Les lettres suivantes paraîtront dans le prochain Cahier. Celles-ci évoquent la vie mouvementée de la Phalange, la revue fondée en 1906 par Jean Royère. Tout en défendant les valeurs symbolistes, celui-ci accueillit dans es pages poètes et prosateurs d'horizons divers assurant ainsi l'éclectisme et l'ouverture de la revue.
Cet échange ici présenté offre un panorama de la vie littéraire particulièrement riche en ce début de XXe siècle, témoigne du foisonnement de revues et de leurs rivalités. Il nous fait assister également à l'entrée de Larbaud en littérature, comme romancier et comme critique.
Cet échange ici présenté offre un panorama de la vie littéraire particulièrement riche en ce début de XXe siècle, témoigne du foisonnement de revues et de leurs rivalités. Il nous fait assister également à l'entrée de Larbaud en littérature, comme romancier et comme critique.