Prix Monte-Cristo

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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.13 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-253-00083-9
  • EAN9782253000839
  • Date de parution26/08/2015
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

"Comme il est difficile de sauver un homme, pense-t-elle au sortir de son rêve". L'homme à sauver, elle l'a trouvé. Ce sera Dimitri, le prisonnier, le criminel dévoré par les remords et la longue peine à purger. Chaque jour, l'héroïne lui rend visite dans un parloir étroit où, petit à petit, la vie retrouve son goût de sel et de joie. L'heure de la sortie sonne enfin. Bouffée d'espoir pour Dimitri.
Coup de poignard pour l'héroïne. Plus d'amour à donner, plus de coeur à consoler. Le bonheur était dans le parloir. Dimitri doit coûte que coûte y retourner... Une sainte nous entraîne sur les chemins de la liberté et de la transgression en une sarabande fantastique, drôle et cruelle.
"Comme il est difficile de sauver un homme, pense-t-elle au sortir de son rêve". L'homme à sauver, elle l'a trouvé. Ce sera Dimitri, le prisonnier, le criminel dévoré par les remords et la longue peine à purger. Chaque jour, l'héroïne lui rend visite dans un parloir étroit où, petit à petit, la vie retrouve son goût de sel et de joie. L'heure de la sortie sonne enfin. Bouffée d'espoir pour Dimitri.
Coup de poignard pour l'héroïne. Plus d'amour à donner, plus de coeur à consoler. Le bonheur était dans le parloir. Dimitri doit coûte que coûte y retourner... Une sainte nous entraîne sur les chemins de la liberté et de la transgression en une sarabande fantastique, drôle et cruelle.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Un livre moche n'est pas forcément mauvais.
On voudrait ne pas faire lire un livre qu’on ne s’y prendrait pas autrement : les éditions Héloïse d’Ormesson publient “Une sainte” d’Emilie de Turckheim. On se dit jamais de la vie, je l’ouvre même pas ; OK je veux bein lire la 4ème de couverture, à la limite. Une jeune femme devient visiteur de prison - d’accord, très peu pour moi. Et cette photo de l’auteur, ce charmant sourire, un peu trop sage, ce doux visage sur fond bleu ciel, c’est vraiment pas possible. Au-dessus, la photo d’une pomme d’amour, et en bleu tout en haut “RENTREE LITTERAIRE 2013”. Sans moi ! Le 27 août, Libé fait le portrait de la jeune femme, la photo intrigue : elle est très décoiffée et son rouge à lèvres vraiment rouge déborde de partout. C’est très Libé, c’est un peu gonflant à la longue, le décalé systématique, mais en même temps, c’est érotique, ça accroche - c’est quoi le jeu ? On prend le livre, et on lit. Bim ! Bon, tout le monde peut se tromper, on ne va pas s’énerver pour un roman de la rentrée littéraire. Et franchement, un livre fagoté comme ça, vous l’auriez ouvert, vous ? Eh bien, non seulement on peut l’ouvrir, mais il y a fort à parier que tous ceux qui l’ouvriront ne pourront plus le lâcher, que l’on me jette le premier roman si j’exagère. Ou alors, je ne sais plus ce que c’est qu’un bon livre, qu’une écriture souple et gorgée de vie, salée plus que sucrée, c’est même parfois acide - que vient faire ici une pomme d’amour ? Quid du thème de la Parisienne qui vient frémir en prison en s’achetant une bonne conscience ? Clichés vite balayés. On pardonne beaucoup aux bons écrivains. Après tout, donner de son temps aux "bannis", leur apporter cette vie qu'ils n'ont plus, être capable de venir entendre la souffrance inouïe du prisonnier, son espérance atrophiée, peut-être déjà morte, combien en sont capables ? D’ailleurs ce qui fait qu’on ne lâche pas le livre n‘a rien à voir avec ce possible “thème”, ce qui compte, c’est ce travail du langage et du rythme qui est juste et qui séduit, surprend, enchante. Comme disent les musiciens : ça sonne ; à partir de là, on veut bien écouter toutes ces histoires, qui, c’est certain maintenant, n’ont rien d’anecdotique. Parce que nous avons là affaire à un vrai écrivain. Reste peut-être à attendre la sortie du livre en poche pour s’épargner la douleur d’avoir à acheter un objet aussi laid. Les éditeurs compulsent leurs statistiques : le lecteur est une lectrice, sensible à la propreté de la tête de gondole. Nous parlons bien d’un certain type de lecteur : le livre présentera bien chez Monsieur Leclerc, la dame qui écrit est vraiment charmante, ça ne peut pas être méchant. Attention, nous dira le responsable de ce produit, le livre est conçu pour être vendu, pas pour être lu ! Eh bien tant pis pour ceux qui passeront à côté du roman pour les mêmes mauvaises raisons que moi. CQFD
On voudrait ne pas faire lire un livre qu’on ne s’y prendrait pas autrement : les éditions Héloïse d’Ormesson publient “Une sainte” d’Emilie de Turckheim. On se dit jamais de la vie, je l’ouvre même pas ; OK je veux bein lire la 4ème de couverture, à la limite. Une jeune femme devient visiteur de prison - d’accord, très peu pour moi. Et cette photo de l’auteur, ce charmant sourire, un peu trop sage, ce doux visage sur fond bleu ciel, c’est vraiment pas possible. Au-dessus, la photo d’une pomme d’amour, et en bleu tout en haut “RENTREE LITTERAIRE 2013”. Sans moi ! Le 27 août, Libé fait le portrait de la jeune femme, la photo intrigue : elle est très décoiffée et son rouge à lèvres vraiment rouge déborde de partout. C’est très Libé, c’est un peu gonflant à la longue, le décalé systématique, mais en même temps, c’est érotique, ça accroche - c’est quoi le jeu ? On prend le livre, et on lit. Bim ! Bon, tout le monde peut se tromper, on ne va pas s’énerver pour un roman de la rentrée littéraire. Et franchement, un livre fagoté comme ça, vous l’auriez ouvert, vous ? Eh bien, non seulement on peut l’ouvrir, mais il y a fort à parier que tous ceux qui l’ouvriront ne pourront plus le lâcher, que l’on me jette le premier roman si j’exagère. Ou alors, je ne sais plus ce que c’est qu’un bon livre, qu’une écriture souple et gorgée de vie, salée plus que sucrée, c’est même parfois acide - que vient faire ici une pomme d’amour ? Quid du thème de la Parisienne qui vient frémir en prison en s’achetant une bonne conscience ? Clichés vite balayés. On pardonne beaucoup aux bons écrivains. Après tout, donner de son temps aux "bannis", leur apporter cette vie qu'ils n'ont plus, être capable de venir entendre la souffrance inouïe du prisonnier, son espérance atrophiée, peut-être déjà morte, combien en sont capables ? D’ailleurs ce qui fait qu’on ne lâche pas le livre n‘a rien à voir avec ce possible “thème”, ce qui compte, c’est ce travail du langage et du rythme qui est juste et qui séduit, surprend, enchante. Comme disent les musiciens : ça sonne ; à partir de là, on veut bien écouter toutes ces histoires, qui, c’est certain maintenant, n’ont rien d’anecdotique. Parce que nous avons là affaire à un vrai écrivain. Reste peut-être à attendre la sortie du livre en poche pour s’épargner la douleur d’avoir à acheter un objet aussi laid. Les éditeurs compulsent leurs statistiques : le lecteur est une lectrice, sensible à la propreté de la tête de gondole. Nous parlons bien d’un certain type de lecteur : le livre présentera bien chez Monsieur Leclerc, la dame qui écrit est vraiment charmante, ça ne peut pas être méchant. Attention, nous dira le responsable de ce produit, le livre est conçu pour être vendu, pas pour être lu ! Eh bien tant pis pour ceux qui passeront à côté du roman pour les mêmes mauvaises raisons que moi. CQFD
  • XXIe siècle
  • Paris
  • prison
3/5
Une sainte ça donne des ailes
Emilie de Turckheim s'attaque au monde des prisons par la force de l'imaginaire. Sa sainte, visiteuse de prison, tente d'abolir les murs par le lyrisme de son imaginaire et officie par là même à sa supposée béatification. Polémique, scintillant, poétique et débridé, le livre souffre cependant d'une trop grande liberté de ton et de style qui laissera sur le carreau bien des lecteurs. Pour les fidèles de cette belle plume, qui sauront passer outre, la magie sera au rendez vous. Ma critique détaillée sur : http://kroniks-ivres.blogspot.fr/2013/10/une-sainte-emilie-de-turckheim-editions.html
Emilie de Turckheim s'attaque au monde des prisons par la force de l'imaginaire. Sa sainte, visiteuse de prison, tente d'abolir les murs par le lyrisme de son imaginaire et officie par là même à sa supposée béatification. Polémique, scintillant, poétique et débridé, le livre souffre cependant d'une trop grande liberté de ton et de style qui laissera sur le carreau bien des lecteurs. Pour les fidèles de cette belle plume, qui sauront passer outre, la magie sera au rendez vous. Ma critique détaillée sur : http://kroniks-ivres.blogspot.fr/2013/10/une-sainte-emilie-de-turckheim-editions.html
avis mitigé
J'ai moi même choisi de découvrir cette auteure, dont j'avais entendu parler et que j'avais hâte de découvrir. Alors bien sûr, lorsque le site Libfly organise une nouvelle fois son opération « La voie des indés », je me porte volontaire pour chroniquer le nouveau récit d'Emilie de Turckheim : Une sainte. Dès le début, j'ai été intriguée par l'écriture qui, il faut le dire, est vraiment singulière. Mais au bout de quelques pages, cela m'a vite agacé. Il faut dire qu'il faut s'accrocher pour comprendre où veut en venir l'auteure. Le texte est tortueux, j'ai parfois été totalement hermétique à certains passages qui me semblaient un peu trop extravagant d'un point de vue syntaxique. D'ailleurs si de futurs lecteurs lisent cet avis, sachez que vous devrez apprécier les virgules et les phrases à rallonges... Concernant l'histoire, j'ai aimé l'idée de départ, celle d'une femme qui décide plus jeune qu'elle deviendra une sainte. Et heureusement que j'ai aimé certains éléments de cette histoire, car autrement je pense que je ne l'aurais pas fini. Car oui, le récit est intéressant, seulement je n'ai pas été sensible à la manière dont il a été construit.. Même si mon avis est mitigé, je tiens bien sûr à remercier Libfly et les éditions Héloïse d'Ormesson pour m'avoir permis de découvrir ce livre.
J'ai moi même choisi de découvrir cette auteure, dont j'avais entendu parler et que j'avais hâte de découvrir. Alors bien sûr, lorsque le site Libfly organise une nouvelle fois son opération « La voie des indés », je me porte volontaire pour chroniquer le nouveau récit d'Emilie de Turckheim : Une sainte. Dès le début, j'ai été intriguée par l'écriture qui, il faut le dire, est vraiment singulière. Mais au bout de quelques pages, cela m'a vite agacé. Il faut dire qu'il faut s'accrocher pour comprendre où veut en venir l'auteure. Le texte est tortueux, j'ai parfois été totalement hermétique à certains passages qui me semblaient un peu trop extravagant d'un point de vue syntaxique. D'ailleurs si de futurs lecteurs lisent cet avis, sachez que vous devrez apprécier les virgules et les phrases à rallonges... Concernant l'histoire, j'ai aimé l'idée de départ, celle d'une femme qui décide plus jeune qu'elle deviendra une sainte. Et heureusement que j'ai aimé certains éléments de cette histoire, car autrement je pense que je ne l'aurais pas fini. Car oui, le récit est intéressant, seulement je n'ai pas été sensible à la manière dont il a été construit.. Même si mon avis est mitigé, je tiens bien sûr à remercier Libfly et les éditions Héloïse d'Ormesson pour m'avoir permis de découvrir ce livre.
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