Une reddition en Algérie 1845. La nuit en partage
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- Nombre de pages145
- PrésentationBroché
- Poids0.19 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-296-07944-1
- EAN9782296079441
- Date de parution07/02/2009
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La reddition " sans coup férir " d'un lieutenant français face aux cavaliers d'Abd-El-Kader n'a aucune raison clairement identifiable. Il ne s'agit ici ni d'un mystère, ni d'un secret, mais d'une énigme qui interdit toute possibilité de déchiffrement. Une nuit, en 1845, un officier de l'armée française et l'Emir Abd-El-Kader décident de rompre ce pacte implicite qui régit les traditions guerrières : l'honneur commande l'affrontement.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.
La reddition " sans coup férir " d'un lieutenant français face aux cavaliers d'Abd-El-Kader n'a aucune raison clairement identifiable. Il ne s'agit ici ni d'un mystère, ni d'un secret, mais d'une énigme qui interdit toute possibilité de déchiffrement. Une nuit, en 1845, un officier de l'armée française et l'Emir Abd-El-Kader décident de rompre ce pacte implicite qui régit les traditions guerrières : l'honneur commande l'affrontement.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.