Une reddition en Algérie 1845. La nuit en partage
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages146
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-22140-6
- EAN9782296221406
- Date de parution01/02/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La reddition " sans coup férir " d'un lieutenant français face aux cavaliers d'Abd-El-Kader n'a aucune raison clairement identifiable. Il ne s'agit ici ni d'un mystère, ni d'un secret, mais d'une énigme qui interdit toute possibilité de déchiffrement. Une nuit, en 1845, un officier de l'armée française et l'Emir Abd-El-Kader décident de rompre ce pacte implicite qui régit les traditions guerrières : l'honneur commande l'affrontement.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.
La reddition " sans coup férir " d'un lieutenant français face aux cavaliers d'Abd-El-Kader n'a aucune raison clairement identifiable. Il ne s'agit ici ni d'un mystère, ni d'un secret, mais d'une énigme qui interdit toute possibilité de déchiffrement. Une nuit, en 1845, un officier de l'armée française et l'Emir Abd-El-Kader décident de rompre ce pacte implicite qui régit les traditions guerrières : l'honneur commande l'affrontement.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.
Or aucun coup de feu ne fut tiré, aucun mouvement offensif ne fut même amorcé, d'un côté comme de l'autre. Un silence et une immobilité qui suspendent les gestes attendus. Double apostasie : les ennemis, en cette étrange face-à-face, paraissent renier, au même moment, toutes leurs appartenances. J'ai seulement voulu retrouver ce moment qui, hors conventions, hors convictions, soulève l'énigme d'une reddition.