Une histoire des trente glorieuses
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- Nombre de pages209
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.248 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-246-82593-7
- EAN9782246825937
- Date de parution18/10/2023
- ÉditeurGrasset
Résumé
C'est l'histoire éternelle des pères et des fils, des familles magnifiques, compliquées, parfois défaites. C'est l'histoire de Christian, son père, qu'entreprend aujourd'hui Didier Pourquery ; et aussi le destin de leurs proches, d'une région à part - le Bordelais - et d'une époque. Avant d'être père, Christian est fils. Sa mère meurt très jeune, il est élevé par sa famille maternelle, et par un père rude et lointain.
Très vite, Christian est mis en apprentissage et apprend un métier " moderne " : radio-électricien. Ce jeune homme est un héros des Trente Glorieuses, inventées et racontées par l'économiste Jean Fourastié, décennies inédites pleines d'espoir, de progrès et d'allant. Christian veut réussir. Son rêve est simple : accéder à la bourgeoisie. C'est une utopie programmée, qui lui teint le coeur et l'esprit, et aussi une lutte contre le destin et la mort, qui vient trop vite.
Christian se marie jeune, devient technicien, informaticien, puis cadre, reprend ses études, lit des classiques et des livres de management : le voici chef d'entreprise. " Trente années de croissance pour le pays et pour mon père " , écrit son fils Didier. Avant que le père ne se tue au volant, filant vers un rendez-vous sur une Nationale, la nuit... " Du projet paternel initial, une famille sur plan, sans passé, un père, une mère, deux fils, il ne reste que moi, Odipe des années cinquante, pour raconter " .
Avec pudeur et talent, et une grande liberté, Didier Pourquery se livre, hésite, raconte. Son frère difficile. Son grand-père aux halles des Capucins. Le parler bordeluche, ses voix et ses mots. Ce pays bientôt couvert de lignes téléphoniques, de grands ensembles, de rubans de bitume, et où ne cesse d'irradier le paysage doux et changeant de l'enfance.
Très vite, Christian est mis en apprentissage et apprend un métier " moderne " : radio-électricien. Ce jeune homme est un héros des Trente Glorieuses, inventées et racontées par l'économiste Jean Fourastié, décennies inédites pleines d'espoir, de progrès et d'allant. Christian veut réussir. Son rêve est simple : accéder à la bourgeoisie. C'est une utopie programmée, qui lui teint le coeur et l'esprit, et aussi une lutte contre le destin et la mort, qui vient trop vite.
Christian se marie jeune, devient technicien, informaticien, puis cadre, reprend ses études, lit des classiques et des livres de management : le voici chef d'entreprise. " Trente années de croissance pour le pays et pour mon père " , écrit son fils Didier. Avant que le père ne se tue au volant, filant vers un rendez-vous sur une Nationale, la nuit... " Du projet paternel initial, une famille sur plan, sans passé, un père, une mère, deux fils, il ne reste que moi, Odipe des années cinquante, pour raconter " .
Avec pudeur et talent, et une grande liberté, Didier Pourquery se livre, hésite, raconte. Son frère difficile. Son grand-père aux halles des Capucins. Le parler bordeluche, ses voix et ses mots. Ce pays bientôt couvert de lignes téléphoniques, de grands ensembles, de rubans de bitume, et où ne cesse d'irradier le paysage doux et changeant de l'enfance.
C'est l'histoire éternelle des pères et des fils, des familles magnifiques, compliquées, parfois défaites. C'est l'histoire de Christian, son père, qu'entreprend aujourd'hui Didier Pourquery ; et aussi le destin de leurs proches, d'une région à part - le Bordelais - et d'une époque. Avant d'être père, Christian est fils. Sa mère meurt très jeune, il est élevé par sa famille maternelle, et par un père rude et lointain.
Très vite, Christian est mis en apprentissage et apprend un métier " moderne " : radio-électricien. Ce jeune homme est un héros des Trente Glorieuses, inventées et racontées par l'économiste Jean Fourastié, décennies inédites pleines d'espoir, de progrès et d'allant. Christian veut réussir. Son rêve est simple : accéder à la bourgeoisie. C'est une utopie programmée, qui lui teint le coeur et l'esprit, et aussi une lutte contre le destin et la mort, qui vient trop vite.
Christian se marie jeune, devient technicien, informaticien, puis cadre, reprend ses études, lit des classiques et des livres de management : le voici chef d'entreprise. " Trente années de croissance pour le pays et pour mon père " , écrit son fils Didier. Avant que le père ne se tue au volant, filant vers un rendez-vous sur une Nationale, la nuit... " Du projet paternel initial, une famille sur plan, sans passé, un père, une mère, deux fils, il ne reste que moi, Odipe des années cinquante, pour raconter " .
Avec pudeur et talent, et une grande liberté, Didier Pourquery se livre, hésite, raconte. Son frère difficile. Son grand-père aux halles des Capucins. Le parler bordeluche, ses voix et ses mots. Ce pays bientôt couvert de lignes téléphoniques, de grands ensembles, de rubans de bitume, et où ne cesse d'irradier le paysage doux et changeant de l'enfance.
Très vite, Christian est mis en apprentissage et apprend un métier " moderne " : radio-électricien. Ce jeune homme est un héros des Trente Glorieuses, inventées et racontées par l'économiste Jean Fourastié, décennies inédites pleines d'espoir, de progrès et d'allant. Christian veut réussir. Son rêve est simple : accéder à la bourgeoisie. C'est une utopie programmée, qui lui teint le coeur et l'esprit, et aussi une lutte contre le destin et la mort, qui vient trop vite.
Christian se marie jeune, devient technicien, informaticien, puis cadre, reprend ses études, lit des classiques et des livres de management : le voici chef d'entreprise. " Trente années de croissance pour le pays et pour mon père " , écrit son fils Didier. Avant que le père ne se tue au volant, filant vers un rendez-vous sur une Nationale, la nuit... " Du projet paternel initial, une famille sur plan, sans passé, un père, une mère, deux fils, il ne reste que moi, Odipe des années cinquante, pour raconter " .
Avec pudeur et talent, et une grande liberté, Didier Pourquery se livre, hésite, raconte. Son frère difficile. Son grand-père aux halles des Capucins. Le parler bordeluche, ses voix et ses mots. Ce pays bientôt couvert de lignes téléphoniques, de grands ensembles, de rubans de bitume, et où ne cesse d'irradier le paysage doux et changeant de l'enfance.