Une enquête du commissaire aux morts étranges
Le moine et le singe-roi

Par : Olivier Barde-Cabuçon

Disponible d'occasion :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages330
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.466 kg
  • Dimensions14,7 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-330-07538-5
  • EAN9782330075385
  • Date de parution01/03/2017
  • CollectionActes noirs
  • ÉditeurActes Sud

Résumé

Dans les jardins si carrés de Versailles, tout va de travers. Au milieu de l'enchevêtrement d'allées et de statues moralisatrices du labyrinthe qui orne le plus beau jardin du monde, un horrible meurtre est commis. Un précurseur de Jack l'Eventreur sévit-il sous les fenêtres de Louis XV, le Singe-roi ? Stupéfaite, la cour semble attendre la prochaine victime comme un poulet son égorgeur. Parmi les suspects, rien de moins que le premier chirurgien du roi, un peintre de la cour et la tenancière d'une maison d'un genre très particulier où les relations habituelles entre hommes et femmes sont inversées.
Gangréné, Versailles semble devenu le royaume de la transgression des interdits. Dans cette nouvelle enquête du commissaire aux morts étranges, jamais encore les rapports de force n'avaient été aussi exacerbés et l'autorité autant remise en question. Faut-il se soumettre, se démettre ou se révolter ? Le chevalier de Volnay sait qu'il n'a pas le droit à l'erreur, tandis que, tout excité, le moine semble considérer les jardins de Versailles comme un nouveau terrain de jeu.
La tension est extrême, les deux enquêteurs abordent la plus périlleuse et la plus fascinante de leurs missions alors que, dans les jardins, le danger rôde partout et surgit souvent de là où on l'attend le moins.
Dans les jardins si carrés de Versailles, tout va de travers. Au milieu de l'enchevêtrement d'allées et de statues moralisatrices du labyrinthe qui orne le plus beau jardin du monde, un horrible meurtre est commis. Un précurseur de Jack l'Eventreur sévit-il sous les fenêtres de Louis XV, le Singe-roi ? Stupéfaite, la cour semble attendre la prochaine victime comme un poulet son égorgeur. Parmi les suspects, rien de moins que le premier chirurgien du roi, un peintre de la cour et la tenancière d'une maison d'un genre très particulier où les relations habituelles entre hommes et femmes sont inversées.
Gangréné, Versailles semble devenu le royaume de la transgression des interdits. Dans cette nouvelle enquête du commissaire aux morts étranges, jamais encore les rapports de force n'avaient été aussi exacerbés et l'autorité autant remise en question. Faut-il se soumettre, se démettre ou se révolter ? Le chevalier de Volnay sait qu'il n'a pas le droit à l'erreur, tandis que, tout excité, le moine semble considérer les jardins de Versailles comme un nouveau terrain de jeu.
La tension est extrême, les deux enquêteurs abordent la plus périlleuse et la plus fascinante de leurs missions alors que, dans les jardins, le danger rôde partout et surgit souvent de là où on l'attend le moins.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Filipe GDecitre Crêches-sur-Saône
3/5
enquête pré révolutionnaire
Nouvelle enquête de Volnay et du moine dans une France pré-révolutionnaire où le duo se frottera aux nobles et aux dédales de Versailles. Belle construction, le récit s'anime en deuxième partie et se double d'une trame amoureuse qui ne laissera pas notre cher commissaire indemne. Le cliffhanger final est époustouflant.
Nouvelle enquête de Volnay et du moine dans une France pré-révolutionnaire où le duo se frottera aux nobles et aux dédales de Versailles. Belle construction, le récit s'anime en deuxième partie et se double d'une trame amoureuse qui ne laissera pas notre cher commissaire indemne. Le cliffhanger final est époustouflant.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Jeu de rôles
Un crime atroce survient dans un cadre où la réalité n'a pas lieu d'être puisque intégralement modelé par la main de l'homme, sur la volonté d'un souverain bâtisseur unique et dont le fantôme rôde pour toujours sur ce domaine royal. Tout est d'une force incroyable et qui nous happe d'emblée. L'entrée de Volnay et du moine en piste est majestueuse. J'oserais presque une comparaison avec une entrée martiale signée Dark Vador pour le commissaire aux morts étranges. (Une attitude, la force, le caractère, la rectitude). L'impertinence quasi immédiate du moine est rafraîchissante et vivifiante dans un monde où les faux semblants règnent en maîtres car tout y est factice, fabriqué, contrôlé. Après cette nouvelle enquête sera l'occasion de renouer avec Paris, enfin surtout Versailles, des protagonistes dits secondaires alors que rien, ni personne n'est véritablement secondaire. C'est juste une question de point de vue et encore. Dans ce nouvel opus, bien des sujets abordés directement ou indirectement résonneront dans nos têtes comme étant très contemporains. Faut-il donc y voir une persistance des problèmes ou bien une incapacité à les résoudre pour l'Homme ? Par exemple la capacité de rendre responsable les "étrangers" des problèmes de violence ou de délinquance : Sartine parlera de la racaille transalpine. Il y a aussi les multiples références à l'état économique du royaume de France, ses problèmes de gouvernant, de responsables dignes et responsables... Que dire des inégalités sociales criantes ? De la misère qui grandit toujours plus, tout comme la richesse de certains privilégiés. Guère étonnant que le moine toujours en avance sur son temps sente déjà se lever une brise révolutionnaire, brise qui est bien tempétueuse dans son esprit éprit de liberté. Il ferait bien tomber quelques têtes, mais... On ne se révolte pas si aisément. Il y a tant de jeux de pouvoirs, de domination, de servitudes que briser ses chaînes n'est pas chose facile. Vous verrez que durant cette lecture, l'Homme est habile pour accroître son emprise sur les sujets plus faibles, réduire leurs marges de manœuvre au point peut-être de se ferrer lui-même. Les relations homme-femme seront aussi abordées avec là encore des jeux, des abus de pouvoirs, de la lassitude, de la routine, des hésitations, des incompréhensions, des non-dits... Des notions de féminisme avant l'heure seraient à relever. Globalement et comme toujours, le décor est merveilleusement posé. On vit l'intrigue, on est transporté au XVIII ème. Les psycho-rigides maniaco-historiques dont je fais partie, trouveront une erreur de filiation (à trois reprises au moins) qui leur fera dresser les cheveux sur la tête, mais si elle est dommageable historiquement, elle n'est en rien gênante pour l'intrigue. De plus et pour rassurer ces personnes, je sais de source sûre (l'auteur lui-même en fait) qu'elles seront corrigées pour les versions de poche. Ouf, on peut respirer, et ronger son frein car la suite des aventures du moine et du commissaire aux morts étranges, ce sera dans un an. Cela va être long, mais long...
Un crime atroce survient dans un cadre où la réalité n'a pas lieu d'être puisque intégralement modelé par la main de l'homme, sur la volonté d'un souverain bâtisseur unique et dont le fantôme rôde pour toujours sur ce domaine royal. Tout est d'une force incroyable et qui nous happe d'emblée. L'entrée de Volnay et du moine en piste est majestueuse. J'oserais presque une comparaison avec une entrée martiale signée Dark Vador pour le commissaire aux morts étranges. (Une attitude, la force, le caractère, la rectitude). L'impertinence quasi immédiate du moine est rafraîchissante et vivifiante dans un monde où les faux semblants règnent en maîtres car tout y est factice, fabriqué, contrôlé. Après cette nouvelle enquête sera l'occasion de renouer avec Paris, enfin surtout Versailles, des protagonistes dits secondaires alors que rien, ni personne n'est véritablement secondaire. C'est juste une question de point de vue et encore. Dans ce nouvel opus, bien des sujets abordés directement ou indirectement résonneront dans nos têtes comme étant très contemporains. Faut-il donc y voir une persistance des problèmes ou bien une incapacité à les résoudre pour l'Homme ? Par exemple la capacité de rendre responsable les "étrangers" des problèmes de violence ou de délinquance : Sartine parlera de la racaille transalpine. Il y a aussi les multiples références à l'état économique du royaume de France, ses problèmes de gouvernant, de responsables dignes et responsables... Que dire des inégalités sociales criantes ? De la misère qui grandit toujours plus, tout comme la richesse de certains privilégiés. Guère étonnant que le moine toujours en avance sur son temps sente déjà se lever une brise révolutionnaire, brise qui est bien tempétueuse dans son esprit éprit de liberté. Il ferait bien tomber quelques têtes, mais... On ne se révolte pas si aisément. Il y a tant de jeux de pouvoirs, de domination, de servitudes que briser ses chaînes n'est pas chose facile. Vous verrez que durant cette lecture, l'Homme est habile pour accroître son emprise sur les sujets plus faibles, réduire leurs marges de manœuvre au point peut-être de se ferrer lui-même. Les relations homme-femme seront aussi abordées avec là encore des jeux, des abus de pouvoirs, de la lassitude, de la routine, des hésitations, des incompréhensions, des non-dits... Des notions de féminisme avant l'heure seraient à relever. Globalement et comme toujours, le décor est merveilleusement posé. On vit l'intrigue, on est transporté au XVIII ème. Les psycho-rigides maniaco-historiques dont je fais partie, trouveront une erreur de filiation (à trois reprises au moins) qui leur fera dresser les cheveux sur la tête, mais si elle est dommageable historiquement, elle n'est en rien gênante pour l'intrigue. De plus et pour rassurer ces personnes, je sais de source sûre (l'auteur lui-même en fait) qu'elles seront corrigées pour les versions de poche. Ouf, on peut respirer, et ronger son frein car la suite des aventures du moine et du commissaire aux morts étranges, ce sera dans un an. Cela va être long, mais long...
Hollywood cantine
Olivier Barde-Cabuçon
Grand Format
20,00 €
Hollywood cantine
Olivier Barde-Cabuçon
E-book
14,99 €
Hollywood s'en va en guerre
Olivier Barde-Cabuçon
E-book
8,99 €
Hollywood s'en va en guerre
Olivier Barde-Cabuçon
E-book
8,99 €
Tuez qui vous voulez
5/5
3.1/5
Olivier Barde-Cabuçon
E-book
10,99 €