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Il paraît qu'en présence du Führer, ses admirateurs sentaient brûler en eux une douce flamme... En 1950, lorsque Bernie Gunther débarque à Buenos Aires sous un nom d'emprunt, la ville est infestée d'exilés nazis, qui ont reconstitué leurs réseaux et leurs pratiques. Informé de sa véritable identité, le chef de la police charge Bernie d'une enquête qui lui rappelle une affaire non élucidée, alors qu'il était détective à la Kripo berlinoise : une jeune fille retrouvée, atrocement mutilée, une autre disparue.
L'occasion, pour Bernie, de découvrir l'ampleur de la collusion entre le régime Perón et les nazis... Dans le sillage de La Trilogie berlinoise, la confrontation entre l'Histoire et le crime continue, sous la plume de Philip Kerr, de provoquer des étincelles. [ ... ]Bernie, un (anti-) héros des plus tourmentés qui gagne ici en complexité et profondeur. Christine Rousseau, Le Monde des livres.
C'est avec un grand plaisir qu'on replonge dans les aventures de Bernie Gunther, notre privé désabusé à l'humour grinçant découvert dans La Trilogie Berlinoise.
Dans Une Douce Flamme, on le retrouve dans les annés 50, exilé comme de nombreux nazis à Buenos Aires, où il va devoir mener l'enquête sur un meurtre qui lui rappelle étrangement une affaire non résolue une vingtaine d'années plus tôt.
Entre le Berlin des années 30 et l'Argentine des époux Peron, Philippe Kerr nous offre un excellent moment de lecture.
Vivement la suite !