Un oratorio, ses silences et quelques rebuts. Cheminements III / Fragments de Tanger et d'ailleurs...
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.19 kg
- Dimensions13,5 cm × 19,0 cm × 0,0 cm
- ISBN979-10-92758-27-6
- EAN9791092758276
- Date de parution01/09/2024
- CollectionLes cahiers du passeur
- ÉditeurScribest éditions
Résumé
Avec ce troisième Cheminement, Philippe Guiguet Bologne nous entraîne dans une course effrénée dans son musée personnel, se penchant plus que jamais dans les grandes oeuvres maniéristes du Cinquecento, mais encore et toujours dans les tableaux de Henri Matisse, et encore ceux étrangement expressionnistes de Jesse Littell, peintre que le poète course à travers la médina dans une trouble histoire de désir.
On rencontre encore Florient, le lecteur-narrateur juif qui s’interroge sur son identité et sa place au Proche-Orient, Salaï qui quitte les toiles de Leonardo pour traverser celles de l’entière histoire de l’art, Samaël qui porte son destin comme Sisyphe son rocher, le photographe Mustapha Sabbagh qui dirige une séance photographique entre érotisme et cannibalisme, Nassim, le cher amant qui a la capacité de se transformer au fil des nécessités du récit…Des miscellanées comme un oratorio à mille voix, ainsi que la poétesse Nicole de Pontcharra avait qualifié les précédents Cheminements, entremêlant des nouvelles de quelques lignes, des poèmes éclatés, des paroles de chansons, des extraits littéraires et d’essais, des notes, des impressions : bref, la vie, la vraie, quand elle mène grand train… Du plaisir, rien que du plaisir !
On rencontre encore Florient, le lecteur-narrateur juif qui s’interroge sur son identité et sa place au Proche-Orient, Salaï qui quitte les toiles de Leonardo pour traverser celles de l’entière histoire de l’art, Samaël qui porte son destin comme Sisyphe son rocher, le photographe Mustapha Sabbagh qui dirige une séance photographique entre érotisme et cannibalisme, Nassim, le cher amant qui a la capacité de se transformer au fil des nécessités du récit…Des miscellanées comme un oratorio à mille voix, ainsi que la poétesse Nicole de Pontcharra avait qualifié les précédents Cheminements, entremêlant des nouvelles de quelques lignes, des poèmes éclatés, des paroles de chansons, des extraits littéraires et d’essais, des notes, des impressions : bref, la vie, la vraie, quand elle mène grand train… Du plaisir, rien que du plaisir !
Avec ce troisième Cheminement, Philippe Guiguet Bologne nous entraîne dans une course effrénée dans son musée personnel, se penchant plus que jamais dans les grandes oeuvres maniéristes du Cinquecento, mais encore et toujours dans les tableaux de Henri Matisse, et encore ceux étrangement expressionnistes de Jesse Littell, peintre que le poète course à travers la médina dans une trouble histoire de désir.
On rencontre encore Florient, le lecteur-narrateur juif qui s’interroge sur son identité et sa place au Proche-Orient, Salaï qui quitte les toiles de Leonardo pour traverser celles de l’entière histoire de l’art, Samaël qui porte son destin comme Sisyphe son rocher, le photographe Mustapha Sabbagh qui dirige une séance photographique entre érotisme et cannibalisme, Nassim, le cher amant qui a la capacité de se transformer au fil des nécessités du récit…Des miscellanées comme un oratorio à mille voix, ainsi que la poétesse Nicole de Pontcharra avait qualifié les précédents Cheminements, entremêlant des nouvelles de quelques lignes, des poèmes éclatés, des paroles de chansons, des extraits littéraires et d’essais, des notes, des impressions : bref, la vie, la vraie, quand elle mène grand train… Du plaisir, rien que du plaisir !
On rencontre encore Florient, le lecteur-narrateur juif qui s’interroge sur son identité et sa place au Proche-Orient, Salaï qui quitte les toiles de Leonardo pour traverser celles de l’entière histoire de l’art, Samaël qui porte son destin comme Sisyphe son rocher, le photographe Mustapha Sabbagh qui dirige une séance photographique entre érotisme et cannibalisme, Nassim, le cher amant qui a la capacité de se transformer au fil des nécessités du récit…Des miscellanées comme un oratorio à mille voix, ainsi que la poétesse Nicole de Pontcharra avait qualifié les précédents Cheminements, entremêlant des nouvelles de quelques lignes, des poèmes éclatés, des paroles de chansons, des extraits littéraires et d’essais, des notes, des impressions : bref, la vie, la vraie, quand elle mène grand train… Du plaisir, rien que du plaisir !