Un billet d'avion pour l'Afrique

Par : Maya Angelou
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  • Nombre de pages226
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.32 kg
  • Dimensions14,1 cm × 20,5 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-923682-14-3
  • EAN9782923682143
  • Date de parution17/08/2011
  • ÉditeurLes Allusifs (Editions)
  • TraducteurLori Saint-Martin
  • TraducteurPaul Gagné

Résumé

Dans ce récit haut en couleur et enlevant, où on retrouve une galerie de personnages réels qu’on oserait presque qualifier de romanesques, la grande dame des lettres américaines poursuit son inlassable travail de mémoire et sa très personnelle histoire du XXe siècle. Lorsque, en août 2008, les Allusifs font paraître Tant que je serai noire, autobiographie de Maya Angelou (traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné), la campagne présidentielle bat son plein aux Etats-Unis, et on assiste à l’élection du premier Noir à la tête de ce pays.
L’ouvrage a suscité un intérêt populaire et médiatique considérable de l’une des pionnières du mouvement pour l’émancipation des Noirs américains, témoin privilégié de l’époque. Non contente d’avoir été mêlée à de nombreuses luttes (elle a notamment croisé Martin Luther King), Maya Angelou, en effet, raconte, se raconte. Dans Un billet d’avion pour l’Afrique, suite de Tant que je serai noire, on retrouve Angelou au Ghana, où, en compagnie d’autres Noirs américains, elle fait la douloureuse expérience du retour.
Ignorés, maltraités ou rejetés dans leur pays d’origine, de nombreux Noirs américains de l’époque (années 1960), reprenant à leur compte le rêve de Marcus Garvey, qui a donné naissance au mouvement rastafari, considèrent l’Afrique d’où sont issus leurs ancêtres comme la terre promise. Avec l’acuité et l’humour qu’on lui connaît, Maya Angelou montre à la fois le malaise causé par l’indifférence des Africains vis-à-vis des nouveaux venus et l’ambiguïté des motivations de ces derniers.
Les Allusifs ont d’ailleurs, réédité, au moment de la sortie de Tant que je serai noire le premier volume de sa série autobiographique, la traduction du premier tome de cette grande série autobiographique, intitulé Je sais pourquoi chante l’oiseau en cage (traduction de Christiane Besse). Figure emblématique de l’histoire des Etas-Unis, Maya Angelou s’est engagée corps et âme dans le XXe siècle américain.
Un portrait d’une femme remarquable, de son engagement politique toujours d’actualité, de son courage, et de sa lutte.
Dans ce récit haut en couleur et enlevant, où on retrouve une galerie de personnages réels qu’on oserait presque qualifier de romanesques, la grande dame des lettres américaines poursuit son inlassable travail de mémoire et sa très personnelle histoire du XXe siècle. Lorsque, en août 2008, les Allusifs font paraître Tant que je serai noire, autobiographie de Maya Angelou (traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné), la campagne présidentielle bat son plein aux Etats-Unis, et on assiste à l’élection du premier Noir à la tête de ce pays.
L’ouvrage a suscité un intérêt populaire et médiatique considérable de l’une des pionnières du mouvement pour l’émancipation des Noirs américains, témoin privilégié de l’époque. Non contente d’avoir été mêlée à de nombreuses luttes (elle a notamment croisé Martin Luther King), Maya Angelou, en effet, raconte, se raconte. Dans Un billet d’avion pour l’Afrique, suite de Tant que je serai noire, on retrouve Angelou au Ghana, où, en compagnie d’autres Noirs américains, elle fait la douloureuse expérience du retour.
Ignorés, maltraités ou rejetés dans leur pays d’origine, de nombreux Noirs américains de l’époque (années 1960), reprenant à leur compte le rêve de Marcus Garvey, qui a donné naissance au mouvement rastafari, considèrent l’Afrique d’où sont issus leurs ancêtres comme la terre promise. Avec l’acuité et l’humour qu’on lui connaît, Maya Angelou montre à la fois le malaise causé par l’indifférence des Africains vis-à-vis des nouveaux venus et l’ambiguïté des motivations de ces derniers.
Les Allusifs ont d’ailleurs, réédité, au moment de la sortie de Tant que je serai noire le premier volume de sa série autobiographique, la traduction du premier tome de cette grande série autobiographique, intitulé Je sais pourquoi chante l’oiseau en cage (traduction de Christiane Besse). Figure emblématique de l’histoire des Etas-Unis, Maya Angelou s’est engagée corps et âme dans le XXe siècle américain.
Un portrait d’une femme remarquable, de son engagement politique toujours d’actualité, de son courage, et de sa lutte.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
enrichissant
Femme noire-américaine, Maya Angelou nous parle ici de ses années passées en Afrique, plus particulièrement au Ghana, pour une grosse partie du livre. Elle y arrive en 1962 et, si elle ne devait y rester que quelques jours, un événement de la vie de son fils en décidera autrement. De là, elle nous raconte ses moments passés avec les habitants de ce pays, sa relation à ses racines africaine, son vécu ainsi que ses propres réflexions sur ses origines. Elle est rapidement confrontée à la perception de sa nationalité américaine par les locaux, un vrai décalage pour cette femme qui ne regrette pas le pays où elle est née car encore trop marqué par la ségrégation raciale. En effet, les africains lui réservent un accueil assez froid auquel elle ne s'attend pas. La période où les africains étaient embarqués sur des bateaux pour être esclaves est encore très prégnante dans les esprits, Maya partage ses origines avec ses personnes, elle est une descendante de ses hommes et femmes et pourtant elle n'est pas accueillie comme elle l'espérait. Elle va tout de même chercher à travailler, vivre sa vie de femme, et affrontera plus ou moins facilement les différences culturelles et linguistiques. Elle aura la chance de côtoyer des femmes qui l'aideront, des hommes qui l'aimeront, des notables qui la questionneront, et un certain Malcolm X avec qui elle aura l'occasion d'échanger. L'écriture de Maya Angelou est fluide, on se laisse prendre par l'histoire de cette femme, à tourner les pages pour en savoir toujours plus sur son retour « aux sources », et l'on partage son désenchantement. Je pense que le fait de ne pas faire de chapitres, de laisser les mots se suivre sans être ordonnés permet de toujours être en lien avec l'auteure, au plus près de ses pensées, de sa vie. J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture, alors c'est sûr, je lirai ces autres livres!
Femme noire-américaine, Maya Angelou nous parle ici de ses années passées en Afrique, plus particulièrement au Ghana, pour une grosse partie du livre. Elle y arrive en 1962 et, si elle ne devait y rester que quelques jours, un événement de la vie de son fils en décidera autrement. De là, elle nous raconte ses moments passés avec les habitants de ce pays, sa relation à ses racines africaine, son vécu ainsi que ses propres réflexions sur ses origines. Elle est rapidement confrontée à la perception de sa nationalité américaine par les locaux, un vrai décalage pour cette femme qui ne regrette pas le pays où elle est née car encore trop marqué par la ségrégation raciale. En effet, les africains lui réservent un accueil assez froid auquel elle ne s'attend pas. La période où les africains étaient embarqués sur des bateaux pour être esclaves est encore très prégnante dans les esprits, Maya partage ses origines avec ses personnes, elle est une descendante de ses hommes et femmes et pourtant elle n'est pas accueillie comme elle l'espérait. Elle va tout de même chercher à travailler, vivre sa vie de femme, et affrontera plus ou moins facilement les différences culturelles et linguistiques. Elle aura la chance de côtoyer des femmes qui l'aideront, des hommes qui l'aimeront, des notables qui la questionneront, et un certain Malcolm X avec qui elle aura l'occasion d'échanger. L'écriture de Maya Angelou est fluide, on se laisse prendre par l'histoire de cette femme, à tourner les pages pour en savoir toujours plus sur son retour « aux sources », et l'on partage son désenchantement. Je pense que le fait de ne pas faire de chapitres, de laisser les mots se suivre sans être ordonnés permet de toujours être en lien avec l'auteure, au plus près de ses pensées, de sa vie. J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture, alors c'est sûr, je lirai ces autres livres!
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