Trois révolutionnaires : Prajnanpad - Sadra - Heidegger. Tome 4, Le Couple être-paraître, caché-manifesté, intérieur-extérieur

Par : Philippe Moulinet

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  • Nombre de pages384
  • PrésentationBroché
  • Poids0.45 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-84161-477-6
  • EAN9782841614776
  • Date de parution01/06/2011
  • CollectionHéritage traditionnel
  • ÉditeurAlbouraq

Résumé

Deux philosophies se partagent le monde. Les « positives » disent « oui » à tout ce qui se présente. Elles s’intéressent à l’extérieur, au mouvement, à la variété. Elles s’assurent du réel, le saisissent dans son devenir. Les « négatives » refusent toutes les limites que nous voyons dehors. Elles cherchent l’infini à l’intérieur, elles veulent l’être, l’un, le permanent, le définitif. Elles sont idéalistes et à base d’angoisse.
Nos trois révolutionnaires ouvrent une troisième voie. Entre l’affirmation et la négation il y a l’interrogation. L’esprit se met en question. Dans le questionnement l’esprit accomplit un double mouvement : Il se retire en lui-même ; dans le même temps Il ouvre un champ à l’intérieur duquel il voit venir les réponses. La question intérieure et la réponse extérieure se rejoignent dans le même esprit.
La Création est un jeu de questions-réponses dans l’esprit divin. Cet esprit n’est pas une force positive, un étant donné, imposé. Il n’est pas non plus le refus du monde. Il se pose à lui-même la question « Qui Suis-je ? » et toutes les formes du monde lui viennent en réponse. Chaque homme est appelé à répondre personnellement à cette question. Voilà ce qu’Heidegger appelle l’Ereignis, Sadra le mouvement intrasubstantiel, et Prajnanpad le rythme du « voir ».
Deux philosophies se partagent le monde. Les « positives » disent « oui » à tout ce qui se présente. Elles s’intéressent à l’extérieur, au mouvement, à la variété. Elles s’assurent du réel, le saisissent dans son devenir. Les « négatives » refusent toutes les limites que nous voyons dehors. Elles cherchent l’infini à l’intérieur, elles veulent l’être, l’un, le permanent, le définitif. Elles sont idéalistes et à base d’angoisse.
Nos trois révolutionnaires ouvrent une troisième voie. Entre l’affirmation et la négation il y a l’interrogation. L’esprit se met en question. Dans le questionnement l’esprit accomplit un double mouvement : Il se retire en lui-même ; dans le même temps Il ouvre un champ à l’intérieur duquel il voit venir les réponses. La question intérieure et la réponse extérieure se rejoignent dans le même esprit.
La Création est un jeu de questions-réponses dans l’esprit divin. Cet esprit n’est pas une force positive, un étant donné, imposé. Il n’est pas non plus le refus du monde. Il se pose à lui-même la question « Qui Suis-je ? » et toutes les formes du monde lui viennent en réponse. Chaque homme est appelé à répondre personnellement à cette question. Voilà ce qu’Heidegger appelle l’Ereignis, Sadra le mouvement intrasubstantiel, et Prajnanpad le rythme du « voir ».