Le prologue décrit la disparition de la petite Josy, jeune fille de douze ans atteinte d’une maladie inconnue et apparemment incurable. Son père n’aura alors de cesse de la chercher, lui-même ou par le biais d’un détective, tout en noyant son chagrin et sa culpabilité dans l’alcool.
Sans transition, nous voici quelques années plus tard, alors que Viktor est attaché à un lit dans l’hôpital psychiatrique le plus réputé. Il raconte son histoire à un médecin, sous forme de compte à rebours avant le jour J où il découvre la vérité, en partant du jour où, alors qu’il s’est retiré dans sa maison de vacances sur l’île de Parkum, une jeune romancière vient le trouver pour lui parler de ses hallucinations qui mettent en scène une petite fille dont l’histoire ressemble étrangement à Josy. Mais qui est cette femme ?
Ce thriller psychologique m’a happée dès la première page et les suivantes se sont tournées sans que je m’en rende compte. Une sorte de huis clos entre Anna et Viktor s’installe : qui est fou ? On remet en cause la parole de Viktor, pourtant une sommité médicale dont la parole devrait faire foi. A partir de là, à qui et à quoi se fier ! Des personnes font irruptions alors que les portes sont fermées, le chien disparaît, des cauchemars et un rhume qui s’aggrave perturbent la perception de la réalité.
Une bonne partie de l’action se passant sur l’île de Parkum, on ne peut que penser à Shutter Island, bien sûr. Et l’inconvénient majeur, c’est qu’à trop lire de romans psychologiques comme Robe de marié ou Comme ton ombre, on finit par décrypter un petit peu les ficelles : des effets à chaque fin de chapitre qui, même si on les sent venir et sont un petit peu lourd (je chipote), des principes de narration qui induisent volontairement le lecteur en erreur… J’ai eu une idée assez tôt de ce qui se passait, mais comme je n’en étais pas sure et surtout que je n’avais pas toutes les explications, le récit a de toute façon pleinement fonctionné. Je me précipitais pour lire les chapitres suivants. Le lecteur angoisse, stresse, attend. Et après tout, c’est ce qu’on (re)demande !
http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2011/08/therapie-sebastian-fitzek.html
Le prologue décrit la disparition de la petite Josy, jeune fille de douze ans atteinte d’une maladie inconnue et apparemment incurable. Son père n’aura alors de cesse de la chercher, lui-même ou par le biais d’un détective, tout en noyant son chagrin et sa culpabilité dans l’alcool.
Sans transition, nous voici quelques années plus tard, alors que Viktor est attaché à un lit dans l’hôpital psychiatrique le plus réputé. Il raconte son histoire à un médecin, sous forme de compte à rebours avant le jour J où il découvre la vérité, en partant du jour où, alors qu’il s’est retiré dans sa maison de vacances sur l’île de Parkum, une jeune romancière vient le trouver pour lui parler de ses hallucinations qui mettent en scène une petite fille dont l’histoire ressemble étrangement à Josy. Mais qui est cette femme ?
Ce thriller psychologique m’a happée dès la première page et les suivantes se sont tournées sans que je m’en rende compte. Une sorte de huis clos entre Anna et Viktor s’installe : qui est fou ? On remet en cause la parole de Viktor, pourtant une sommité médicale dont la parole devrait faire foi. A partir de là, à qui et à quoi se fier ! Des personnes font irruptions alors que les portes sont fermées, le chien disparaît, des cauchemars et un rhume qui s’aggrave perturbent la perception de la réalité.
Une bonne partie de l’action se passant sur l’île de Parkum, on ne peut que penser à Shutter Island, bien sûr. Et l’inconvénient majeur, c’est qu’à trop lire de romans psychologiques comme Robe de marié ou Comme ton ombre, on finit par décrypter un petit peu les ficelles : des effets à chaque fin de chapitre qui, même si on les sent venir et sont un petit peu lourd (je chipote), des principes de narration qui induisent volontairement le lecteur en erreur… J’ai eu une idée assez tôt de ce qui se passait, mais comme je n’en étais pas sure et surtout que je n’avais pas toutes les explications, le récit a de toute façon pleinement fonctionné. Je me précipitais pour lire les chapitres suivants. Le lecteur angoisse, stresse, attend. Et après tout, c’est ce qu’on (re)demande !
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