Theorie Generale De La Monnaie Et Du Capital. Tome 1, La Monnaie : Batarde De La Societe, Enfant Putatif Du Banquier

Par : Patrick Castex

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  • Nombre de pages262
  • PrésentationBroché
  • Poids0.355 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,1 cm
  • ISBN2-7475-3664-5
  • EAN9782747536646
  • Date de parution27/02/2003
  • CollectionEconomie et Innovation
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Ce livre est le tome 1 d'une Théorie générale de la monnaie et du capital. Ce titre n'est qu'un clin d'œil à la Théorie générale de Keynes et au Capital de Marx. Cet essai traite de la liaison entre la monnaie et le capital. L'argent ou le système monnaie, étalon de mesure des prix, articule deux éléments d'une contradiction. Une structure, un stock de réserve de valeur (économique et social, voire politique) qui peut devenir du capital exploiteur de l'échange inégal : le " côté face ". Une fonction, un moyen de transaction assurant les échanges égaux, entre équivalents : le " côté pile ". Cette analyse se substitue au catalogue répété depuis Aristote des trois " fonctions " de la monnaie. La monnaie apparaît comme la fille putative du banquier, car cette paternité n'est pas évidente. Un nouveau stock de monnaie est-il vraiment créé par le crédit bancaire (ladite création monétaire) ? Ou ne s'agit-il tout simplement que de l'accélération du flux monétaire ? La monnaie est aussi une bâtarde de la société. Un bien économique dont l'origine semble " naturelle ", censée assurer des échanges équitables, " justes " - comme le " juste prix ". Une institution qui renvoie toujours à un pouvoir et à un échange équitable, inique ; singulièrement quand la monnaie devient monnaie-finance. Cette monnaie institution est abordée ici aux niveaux politique, religieux, psychanalytique et sociologique. Mais aussi au niveau... économique : il n'y a pas d'économie sans société. Ce livre est d'une lecture attrayante. Didactique, il s'adresse aux étudiants et aux chercheurs qui veulent sortir de la routine des paradigmes dominants.
Ce livre est le tome 1 d'une Théorie générale de la monnaie et du capital. Ce titre n'est qu'un clin d'œil à la Théorie générale de Keynes et au Capital de Marx. Cet essai traite de la liaison entre la monnaie et le capital. L'argent ou le système monnaie, étalon de mesure des prix, articule deux éléments d'une contradiction. Une structure, un stock de réserve de valeur (économique et social, voire politique) qui peut devenir du capital exploiteur de l'échange inégal : le " côté face ". Une fonction, un moyen de transaction assurant les échanges égaux, entre équivalents : le " côté pile ". Cette analyse se substitue au catalogue répété depuis Aristote des trois " fonctions " de la monnaie. La monnaie apparaît comme la fille putative du banquier, car cette paternité n'est pas évidente. Un nouveau stock de monnaie est-il vraiment créé par le crédit bancaire (ladite création monétaire) ? Ou ne s'agit-il tout simplement que de l'accélération du flux monétaire ? La monnaie est aussi une bâtarde de la société. Un bien économique dont l'origine semble " naturelle ", censée assurer des échanges équitables, " justes " - comme le " juste prix ". Une institution qui renvoie toujours à un pouvoir et à un échange équitable, inique ; singulièrement quand la monnaie devient monnaie-finance. Cette monnaie institution est abordée ici aux niveaux politique, religieux, psychanalytique et sociologique. Mais aussi au niveau... économique : il n'y a pas d'économie sans société. Ce livre est d'une lecture attrayante. Didactique, il s'adresse aux étudiants et aux chercheurs qui veulent sortir de la routine des paradigmes dominants.