Tes pieds je les touche dans l'ombre. Poèmes retrouvés

Par : Pablo Neruda

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  • Nombre de pages166
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.247 kg
  • Dimensions13,0 cm × 19,7 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-232-12822-6
  • EAN9782232128226
  • Date de parution03/03/2016
  • CollectionPoésie d'abord
  • ÉditeurSeghers
  • TraducteurJacques Ancet

Résumé

Découvert à l'occasion d'un minutieux travail de catalogage des manuscrits et tapuscrits originaux, ces poèmes ont d'ores et déjà créé l'événement : avant même qu'ils soient traduits en France, la nouvelle de leur publication en espagnol puis en anglais a été relayée par la presse internationale. Pourquoi cette ferveur, plus de quarante ans après la mort du poète ? Parce que Pablo Neruda demeure l'une des voix les plus populaires de langue latino-américaine et qu'il incarne, aux yeux de chacun, une figure immuable de la poésie de combat.
Ecrits entre 1956 et 1973, période de maturité du poète, et contemporains de La Centaine d'amour et du Mémorial de l'île noire, ces textes se présentent de façon modeste, comme des fragments, souvent griffonnés à l'encre verte sur des brochures, des menus, des prospectus (reproduits en fin de recueil dans un carnet de fac-similés de trente pages en couleurs). Les motifs que développe ici Neruda sont ceux qui composent son oeuvre depuis Résidence sur la terre : l'amour pour les femmes (" De pain, de feu, de sang et de vin / est le terrestre amour qui nous embrase ") ; le voyage (" J'ai roulé sous les sabots, les chevaux / sont passés sur moi comme les cyclones ") ; le pays natal livré aux séismes (" Je dis bonjour au ciel / Plus de terre.
Elle s'est détachée / hier et cette nuit du navire. / Derrière est resté le Chili "), à l'incertitude politique (" Cordillères / enneigées,/ Andes / blanches / parois de ma patrie, / que de silence / tout autour de la volonté, des luttes / de mon peuple. ") ; la poésie (" je dois écrire des lignes / que je ne lis pas, / je dois chanter pour quelqu'un/ que je ne connaîtrai / même pas un jour ") ; les forces telluriques et enfin la nature, toujours féconde et luxuriante (" Alors traversant l'incitation de ta cime son éclair parcourt / sables, coroles, volcans, jasmins, déserts, racines / et porte ton essence aux oeufs de la forêt, à la rose furieuse / des hannetons.
") Les lecteurs, nombreux, de Pablo Neruda ne seront pas déçus par cette dernière moisson de poèmes. Ils sauront y lire cette foi étonnante dans l'amour humain.
Découvert à l'occasion d'un minutieux travail de catalogage des manuscrits et tapuscrits originaux, ces poèmes ont d'ores et déjà créé l'événement : avant même qu'ils soient traduits en France, la nouvelle de leur publication en espagnol puis en anglais a été relayée par la presse internationale. Pourquoi cette ferveur, plus de quarante ans après la mort du poète ? Parce que Pablo Neruda demeure l'une des voix les plus populaires de langue latino-américaine et qu'il incarne, aux yeux de chacun, une figure immuable de la poésie de combat.
Ecrits entre 1956 et 1973, période de maturité du poète, et contemporains de La Centaine d'amour et du Mémorial de l'île noire, ces textes se présentent de façon modeste, comme des fragments, souvent griffonnés à l'encre verte sur des brochures, des menus, des prospectus (reproduits en fin de recueil dans un carnet de fac-similés de trente pages en couleurs). Les motifs que développe ici Neruda sont ceux qui composent son oeuvre depuis Résidence sur la terre : l'amour pour les femmes (" De pain, de feu, de sang et de vin / est le terrestre amour qui nous embrase ") ; le voyage (" J'ai roulé sous les sabots, les chevaux / sont passés sur moi comme les cyclones ") ; le pays natal livré aux séismes (" Je dis bonjour au ciel / Plus de terre.
Elle s'est détachée / hier et cette nuit du navire. / Derrière est resté le Chili "), à l'incertitude politique (" Cordillères / enneigées,/ Andes / blanches / parois de ma patrie, / que de silence / tout autour de la volonté, des luttes / de mon peuple. ") ; la poésie (" je dois écrire des lignes / que je ne lis pas, / je dois chanter pour quelqu'un/ que je ne connaîtrai / même pas un jour ") ; les forces telluriques et enfin la nature, toujours féconde et luxuriante (" Alors traversant l'incitation de ta cime son éclair parcourt / sables, coroles, volcans, jasmins, déserts, racines / et porte ton essence aux oeufs de la forêt, à la rose furieuse / des hannetons.
") Les lecteurs, nombreux, de Pablo Neruda ne seront pas déçus par cette dernière moisson de poèmes. Ils sauront y lire cette foi étonnante dans l'amour humain.
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