Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce livre interroge deux des promesses politiques dont l'écoute de la poésie s'est trouvée investie au siècle dernier. Son fil conducteur est double....
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Ce livre interroge deux des promesses politiques dont l'écoute de la poésie s'est trouvée investie au siècle dernier. Son fil conducteur est double. Il est d'abord, orienté par la confrontation critique de deux lectures de la poésie : celle que fait Heidegger des hymnes de Hölderlin et celle que fait Paul Celan de Mandelstamm. Dans chacune de ces deux figures, l'écoute de la poésie est pensée à partir de son adresse : pour Heidegger, c'est le peuple que la poésie est censée venir sauver ; pour Celan, c'est l'interlocuteur providentiel qu'elle vient secourir. Dans le premier cas, cette pensée est chargée d'ambiguïtés et de présupposés sur la langue, le destin, le peuple que le présent essai entreprend de déconstruire. Dans le second cas, elle met au premier plan de la relation entre le poète et son lecteur l'attention - une attention dont il s'agit ainsi de penser la portée éthique et politique. Promesse de salut, promesse de secours sont alors présentées comme deux façons radicalement opposées de penser la situation de la poésie face à la terreur politique.