Tchernobyliana. Esthétique et cosmologie de l'âge radioactif

Par : Jean-Michel Durafour

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  • Nombre de pages216
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions12,5 cm × 18,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-7116-3009-7
  • EAN9782711630097
  • Date de parution08/07/2021
  • CollectionRecherches d'esthétique conte
  • ÉditeurVrin

Résumé

Le 26 avril 1986 à 1 h 23 mn 44 s, le coeur du réacteur n°4 de la centrale Lénine de Tchernobyl explose. A travers l'étude de plusieurs gestes artistiques, cet essai interroge ce qu'un tel événement. impliquant des temporalités au-delà de l'expérience humaine possible, a changé dans notre regard et notre façon de faire des images. Contrairement à la bombe atomique, qui a donné lieu à des régimes de représentation ex-orbitants, par leurs surcroîts pyrotechniques et olympiens, la première grande catastrophe environnementale du nucléaire civil ne peut être approchée que par une esthétique in-oculée où le regard est partout orienté dans une menace obscure, sourde et infernale.
Trois propositions principales : la radioactivité est moins, pour l'art, un objet de représentation qu'une manière de regarder : les Images du vivant contaminé par la radioactivité (nucléarisé) exigent un regard humain énucléé ; un art de la radioactivité produit une esthétique radieuse.
Le 26 avril 1986 à 1 h 23 mn 44 s, le coeur du réacteur n°4 de la centrale Lénine de Tchernobyl explose. A travers l'étude de plusieurs gestes artistiques, cet essai interroge ce qu'un tel événement. impliquant des temporalités au-delà de l'expérience humaine possible, a changé dans notre regard et notre façon de faire des images. Contrairement à la bombe atomique, qui a donné lieu à des régimes de représentation ex-orbitants, par leurs surcroîts pyrotechniques et olympiens, la première grande catastrophe environnementale du nucléaire civil ne peut être approchée que par une esthétique in-oculée où le regard est partout orienté dans une menace obscure, sourde et infernale.
Trois propositions principales : la radioactivité est moins, pour l'art, un objet de représentation qu'une manière de regarder : les Images du vivant contaminé par la radioactivité (nucléarisé) exigent un regard humain énucléé ; un art de la radioactivité produit une esthétique radieuse.
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