Sur les traces des expositions universelles (Paris 1855-1937). A la recherche des pavillons et des monuments oubliés
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- Nombre de pages176
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.52 kg
- Dimensions21,0 cm × 17,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-37395-196-7
- EAN9782373951967
- Date de parution15/09/2022
- ÉditeurParigramme
Résumé
Que reste-t-il des Expositions universelles parisiennes, ces manifestations glorifiant les progrès industriels ou techniques, célébrant les arts à l'occasion et affirmant un goût prononcé pour une ethnologie plus pittoresque que scientifique ? La tour Eiffel, bien sûr, comme le Grand Palais ou le palais du Trocadéro. Mais la grande majorité des pavillons, faits de bois et de torchis, de brique ou de plâtre, décorés de stuc et de céramique et promis à la destruction à l'issue des festivités, ont disparu.
Certaines de ces constructions précaires ont cependant été rachetées ou récupérées par des collectivités ou des particuliers. On retrouve ainsi à Paris ou plus encore en banlieue des dizaines de pavillons anciens ou d'éléments remontés de façon plus ou moins fantaisiste.
Certaines de ces constructions précaires ont cependant été rachetées ou récupérées par des collectivités ou des particuliers. On retrouve ainsi à Paris ou plus encore en banlieue des dizaines de pavillons anciens ou d'éléments remontés de façon plus ou moins fantaisiste.
Que reste-t-il des Expositions universelles parisiennes, ces manifestations glorifiant les progrès industriels ou techniques, célébrant les arts à l'occasion et affirmant un goût prononcé pour une ethnologie plus pittoresque que scientifique ? La tour Eiffel, bien sûr, comme le Grand Palais ou le palais du Trocadéro. Mais la grande majorité des pavillons, faits de bois et de torchis, de brique ou de plâtre, décorés de stuc et de céramique et promis à la destruction à l'issue des festivités, ont disparu.
Certaines de ces constructions précaires ont cependant été rachetées ou récupérées par des collectivités ou des particuliers. On retrouve ainsi à Paris ou plus encore en banlieue des dizaines de pavillons anciens ou d'éléments remontés de façon plus ou moins fantaisiste.
Certaines de ces constructions précaires ont cependant été rachetées ou récupérées par des collectivités ou des particuliers. On retrouve ainsi à Paris ou plus encore en banlieue des dizaines de pavillons anciens ou d'éléments remontés de façon plus ou moins fantaisiste.