Suites anglaises. De Swift à Joyce, Stevenson, Orwell, et quelques autres

Par : Philippe Arnaud

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  • Nombre de pages262
  • PrésentationBroché
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions12,5 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-86959-992-5
  • EAN9782869599925
  • Date de parution11/10/2012
  • ÉditeurArléa

Résumé

A l'origine de ce livre, il y a deux passions : la littérature et la culture anglaise. Car à force d'entendre dire que le français disparaît dans la communication globale anglo-saxonne, on en oublierait l'affinité profonde entre le français et l'anglais. Mallarmé comme Borges - qui furent l'un l'autre professeur d'anglais - disaient que français et anglais étaient en "rapport historique permanent".
La tentation existe cependant de considérer les classiques de la littérature anglaise, de Swift à Waugh, en passant par Sterne, Fielding, D-H Lawrence, Stevenson ou Shaw, comme des monuments d'un autre temps. Ces auteurs ont pourtant quelque chose de vital, et peut-être même d'urgent, à nous dire. Orwell, dont il est également question ici, se moquait des livres à "prétentions littéraires". Ce travail ne prétend à rien, sinon à distraire le lecteur en l'instruisant un peu.
Il ne s'agit pas de faire littéraire, ni de parler sur la littérature, mais de relire tout simplement ces auteurs, en essayant de penser à partir de la littérature, le roman étant, comme chacun sait, la continuation de la pensée par d'autres moyens. De tous côtés, on nous répète aujourd'hui, pour s'en réjouir ou le déplorer, que le statut "exceptionnel" autrefois dévolu à la littérature n'est plus.
Comme si l'on voulait en finir une fois pour toutes avec la question : Qu'est-ce que la littérature ? Quitte à être à contre-courant, le désir de l'auteur est bien de se confronter une nouvelle fois avec cette question, à son avis, loin d'être forclose, et d'exercer son droit de suite, comme l'indique le titre de cet essai. Droit de suite, c'est-à-dire exercice de prérogatives sur la bibliothèque.
Grâce aux classiques de la littérature de langue anglaise, que s'agit-il de recouvrer si ce n'est la jouissance ? Les voies du roman européen passent par l'Angleterre. Et il faut bien l'avouer : la littérature anglaise est la plus riche, la plus universelle, la plus libre, la plus souveraine, la plus merveilleuse, la plus vivante, et la plus drôle du monde.
A l'origine de ce livre, il y a deux passions : la littérature et la culture anglaise. Car à force d'entendre dire que le français disparaît dans la communication globale anglo-saxonne, on en oublierait l'affinité profonde entre le français et l'anglais. Mallarmé comme Borges - qui furent l'un l'autre professeur d'anglais - disaient que français et anglais étaient en "rapport historique permanent".
La tentation existe cependant de considérer les classiques de la littérature anglaise, de Swift à Waugh, en passant par Sterne, Fielding, D-H Lawrence, Stevenson ou Shaw, comme des monuments d'un autre temps. Ces auteurs ont pourtant quelque chose de vital, et peut-être même d'urgent, à nous dire. Orwell, dont il est également question ici, se moquait des livres à "prétentions littéraires". Ce travail ne prétend à rien, sinon à distraire le lecteur en l'instruisant un peu.
Il ne s'agit pas de faire littéraire, ni de parler sur la littérature, mais de relire tout simplement ces auteurs, en essayant de penser à partir de la littérature, le roman étant, comme chacun sait, la continuation de la pensée par d'autres moyens. De tous côtés, on nous répète aujourd'hui, pour s'en réjouir ou le déplorer, que le statut "exceptionnel" autrefois dévolu à la littérature n'est plus.
Comme si l'on voulait en finir une fois pour toutes avec la question : Qu'est-ce que la littérature ? Quitte à être à contre-courant, le désir de l'auteur est bien de se confronter une nouvelle fois avec cette question, à son avis, loin d'être forclose, et d'exercer son droit de suite, comme l'indique le titre de cet essai. Droit de suite, c'est-à-dire exercice de prérogatives sur la bibliothèque.
Grâce aux classiques de la littérature de langue anglaise, que s'agit-il de recouvrer si ce n'est la jouissance ? Les voies du roman européen passent par l'Angleterre. Et il faut bien l'avouer : la littérature anglaise est la plus riche, la plus universelle, la plus libre, la plus souveraine, la plus merveilleuse, la plus vivante, et la plus drôle du monde.
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