So shocking !

Par : Alan Bennett
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  • Nombre de pages235
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.187 kg
  • Dimensions12,6 cm × 17,4 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-207-11254-0
  • EAN9782207112540
  • Date de parution16/02/2012
  • CollectionDenoël & d'ailleurs
  • ÉditeurDenoël
  • TraducteurPierre Ménard

Résumé

Mrs Donaldson et Mrs Forbes ont la cinquantaine. Mariées et mères de famille, elles sont ce que l'on pourrait appeler des "femmes respectables" de la middle-class anglaise. La première, vieille dame effacée que le veuvage vient de libérer d'un mariage trop ordinaire, s'apprête à goûter à la solitude altière et digne à laquelle son nouveau statut la prédispose. La seconde, matrone surprotectrice, a des idées bien arrêtées sur tout, et voit d'un oeil critique les noces de son fils Graham, conseiller bancaire séduisant et passablement narcissique, avec la disgracieuse Betty.
Mais voilà qu'un souffle libertin vient bousculer ce havre de respectabilité petit-bourgeois. Mrs Donaldson devient la logeuse de deux étudiants en médecine qui, en fait de loyer, offrent leurs ébats sexuels à ses regards voyeuristes. Quant à Mrs Forbes, il faut toute la ruse de son entourage pour lui camoufler les frasques de son fils, homosexuel non avoué, qui assouvit ses pulsions en louant les services d'un prostitué.
Fantaisie impertinente sur une libération sexuelle tardive et farce familiale se mêlent ici pour un régal de lecture impudique et subversive.
Mrs Donaldson et Mrs Forbes ont la cinquantaine. Mariées et mères de famille, elles sont ce que l'on pourrait appeler des "femmes respectables" de la middle-class anglaise. La première, vieille dame effacée que le veuvage vient de libérer d'un mariage trop ordinaire, s'apprête à goûter à la solitude altière et digne à laquelle son nouveau statut la prédispose. La seconde, matrone surprotectrice, a des idées bien arrêtées sur tout, et voit d'un oeil critique les noces de son fils Graham, conseiller bancaire séduisant et passablement narcissique, avec la disgracieuse Betty.
Mais voilà qu'un souffle libertin vient bousculer ce havre de respectabilité petit-bourgeois. Mrs Donaldson devient la logeuse de deux étudiants en médecine qui, en fait de loyer, offrent leurs ébats sexuels à ses regards voyeuristes. Quant à Mrs Forbes, il faut toute la ruse de son entourage pour lui camoufler les frasques de son fils, homosexuel non avoué, qui assouvit ses pulsions en louant les services d'un prostitué.
Fantaisie impertinente sur une libération sexuelle tardive et farce familiale se mêlent ici pour un régal de lecture impudique et subversive.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.9/5
sur 7 notes dont 5 avis lecteurs
Pas très enthousiaste
Il y a quelques années, La reine des lectrices, avec son bibi royal en couverture, m’avait bien divertie, ainsi que la majorité de ses lecteurs. Nous avions apprécié l’humour et le style enlevé de l’auteur, pour décrire la passion toute neuve de la reine des anglais pour la lecture ! Aussi n’ai-je pas hésité longtemps face à cette couverture et à ce titre prometteur… Je me suis rendu compte seulement en cours de lecture qu’il s’agissait de deux histoires, et non d’une seule comme je le croyais, et en ai été légèrement déçue, car la première nouvelle, Mrs Donaldson sort du placard, qui raconte l’émancipation tardive d’une veuve quinquagénaire (qui en paraît bien plus, à mon avis) ne manque pas de piquant ni d’humour. Elle conduit Mrs Donaldson vers des nouveautés émoustillantes, auxquelles sa vie étriquée ne la prédestinait pas. Rien que le petit travail qu’elle trouve à l’hôpital pour arrondir ses fins de mois, donne lieu à des scènes très divertissantes. Toutefois, le style n’a rien de très marquant, et si le sourire vient souvent aux lèvres, il ne faut pas s’attendre à ce que ce soit franchement hilarant… Quant à la deuxième partie, un peu plus courte, Mrs Forbes reste à l’abri, elle fait penser à une pièce de théâtre de boulevard qui lorgne du côté des quiproquos et des amants dans le placard, et les sourires, cette fois, n’ont pas été très nombreux, car l’évolution de la situation était un peu moins originale. Je m’attendais à mieux de la part d’un auteur à la fois dramaturge et humoriste. Convenons toutefois que ce livre peut jouer son petit rôle entre deux lectures plus sombres ou étouffantes : une bouffée d’air frais d’outre-Manche avec un zeste d’humour british !
Il y a quelques années, La reine des lectrices, avec son bibi royal en couverture, m’avait bien divertie, ainsi que la majorité de ses lecteurs. Nous avions apprécié l’humour et le style enlevé de l’auteur, pour décrire la passion toute neuve de la reine des anglais pour la lecture ! Aussi n’ai-je pas hésité longtemps face à cette couverture et à ce titre prometteur… Je me suis rendu compte seulement en cours de lecture qu’il s’agissait de deux histoires, et non d’une seule comme je le croyais, et en ai été légèrement déçue, car la première nouvelle, Mrs Donaldson sort du placard, qui raconte l’émancipation tardive d’une veuve quinquagénaire (qui en paraît bien plus, à mon avis) ne manque pas de piquant ni d’humour. Elle conduit Mrs Donaldson vers des nouveautés émoustillantes, auxquelles sa vie étriquée ne la prédestinait pas. Rien que le petit travail qu’elle trouve à l’hôpital pour arrondir ses fins de mois, donne lieu à des scènes très divertissantes. Toutefois, le style n’a rien de très marquant, et si le sourire vient souvent aux lèvres, il ne faut pas s’attendre à ce que ce soit franchement hilarant… Quant à la deuxième partie, un peu plus courte, Mrs Forbes reste à l’abri, elle fait penser à une pièce de théâtre de boulevard qui lorgne du côté des quiproquos et des amants dans le placard, et les sourires, cette fois, n’ont pas été très nombreux, car l’évolution de la situation était un peu moins originale. Je m’attendais à mieux de la part d’un auteur à la fois dramaturge et humoriste. Convenons toutefois que ce livre peut jouer son petit rôle entre deux lectures plus sombres ou étouffantes : une bouffée d’air frais d’outre-Manche avec un zeste d’humour british !
3/5
So shoking !
A travers deux histoires distinctes, Alan Bennett choisit de dépeindre avec humour la middle class anglaise. Deux récits portés par une plume fluide qui parvient sans mal à trouver le juste équilibre entre humour et voyeurisme. Une satire sociale divertissante et piquante qui ne parvient cependant jamais à s'élever jusqu'à la critique acerbe et féroce propre au genre. http://art-enciel.over-blog.com/article-so-shocking-d-alan-bennett-117444787.html
A travers deux histoires distinctes, Alan Bennett choisit de dépeindre avec humour la middle class anglaise. Deux récits portés par une plume fluide qui parvient sans mal à trouver le juste équilibre entre humour et voyeurisme. Une satire sociale divertissante et piquante qui ne parvient cependant jamais à s'élever jusqu'à la critique acerbe et féroce propre au genre. http://art-enciel.over-blog.com/article-so-shocking-d-alan-bennett-117444787.html
  • Intriguant
3/5
so hilarant
Mme Donaldson, veuve de son état décide de louer sa chambre d’amis à un couple d’étudients pour arrondir ses fins de mois. A cours d’argent, les jeunes gens lui font une bien drôle de proposition. Mme Forbes mère au foyer qui souhaite le meilleur pour son fils. Alors quand celui-ci lui présente sa fiancée, elle ne peut cacher sa déception. Deux histoires, deux femmes bien particulières à l’opposé de ce que la bonne société anglaise attend d’elles. L’ambiance fait très années 50-60 mais avec quelques touches « so schoking » (qui ne m’ont pas forcément choquées) pour rappeler qu’il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Ce fut une lecture plaisante mais je pense pas en garder un souvenir impérissable comme cela avait pu l’être avec La Reine des lectrices.
Mme Donaldson, veuve de son état décide de louer sa chambre d’amis à un couple d’étudients pour arrondir ses fins de mois. A cours d’argent, les jeunes gens lui font une bien drôle de proposition. Mme Forbes mère au foyer qui souhaite le meilleur pour son fils. Alors quand celui-ci lui présente sa fiancée, elle ne peut cacher sa déception. Deux histoires, deux femmes bien particulières à l’opposé de ce que la bonne société anglaise attend d’elles. L’ambiance fait très années 50-60 mais avec quelques touches « so schoking » (qui ne m’ont pas forcément choquées) pour rappeler qu’il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Ce fut une lecture plaisante mais je pense pas en garder un souvenir impérissable comme cela avait pu l’être avec La Reine des lectrices.
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