Science, argent et politique. Un essai d'interprétation
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- Nombre de pages201
- PrésentationBroché
- Poids0.2 kg
- Dimensions12,1 cm × 19,1 cm × 1,2 cm
- ISBN2-7380-1100-4
- EAN9782738011008
- Date de parution08/12/2003
- Collectionsciences en questions
- ÉditeurInra-Quae
Résumé
Etroitement liées aux autres activités humaines, les sciences ont toujours intéressé les pouvoirs, qu'ils soient économiques ou politiques, et leurs développements ont toujours été marqués par eux. Inversement, les sciences ont souvent offert des outils neufs permettant aux puissants de transformer radicalement la nature et les sociétés. Dans ce livre, cette thèse est étayée par une relecture des régimes de production des savoirs qui se sont succédé en Occident depuis le XVIe siècle et de leurs effets sur nos rapports au monde et à la nature.
L'auteur insiste sur les trente dernières années, caractérisées par l'apparition d'un régime des savoirs qui opère de plus en plus entre académies et marchés, entre bien public et intérêts marchands, et par une production de risques nouveaux issus d'une techno-science organiquement liée au monde industriel.
L'auteur insiste sur les trente dernières années, caractérisées par l'apparition d'un régime des savoirs qui opère de plus en plus entre académies et marchés, entre bien public et intérêts marchands, et par une production de risques nouveaux issus d'une techno-science organiquement liée au monde industriel.
Etroitement liées aux autres activités humaines, les sciences ont toujours intéressé les pouvoirs, qu'ils soient économiques ou politiques, et leurs développements ont toujours été marqués par eux. Inversement, les sciences ont souvent offert des outils neufs permettant aux puissants de transformer radicalement la nature et les sociétés. Dans ce livre, cette thèse est étayée par une relecture des régimes de production des savoirs qui se sont succédé en Occident depuis le XVIe siècle et de leurs effets sur nos rapports au monde et à la nature.
L'auteur insiste sur les trente dernières années, caractérisées par l'apparition d'un régime des savoirs qui opère de plus en plus entre académies et marchés, entre bien public et intérêts marchands, et par une production de risques nouveaux issus d'une techno-science organiquement liée au monde industriel.
L'auteur insiste sur les trente dernières années, caractérisées par l'apparition d'un régime des savoirs qui opère de plus en plus entre académies et marchés, entre bien public et intérêts marchands, et par une production de risques nouveaux issus d'une techno-science organiquement liée au monde industriel.