Saint-Sulpice et les séminaires sulpiciens de 1657 à 1700
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- Nombre de pages445
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.643 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,5 cm × 3,4 cm
- ISBN978-2-7067-1735-2
- EAN9782706717352
- Date de parution29/11/2018
- ÉditeurSalvator
- PréfacierJean-Marie Micas
Résumé
On ne dira jamais assez combien le clergé catholique, en France et au Canada notamment, aura été marqué par la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice à travers la formation dispensée dans les séminaires. Fondée par Jean-Jacques Olier (1608-1657), grande figure de l'Ecole française de spiritualité, cette Compagnie entendait travailler ainsi à une réforme de l'Eglise en profondeur, dans le sillage du concile de Trente.
Mais qu'en fut-il durant les années qui suivirent la disparition du fondateur ? Bernard Pitaud décrit avec précision toute cette histoire et comment, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, la "petite Compagnie", selon le mot même d'Olier, a pris peu à peu la forme d'une institution, avec ses règles, ses coutumes et son esprit. Le mot "esprit" est ici essentiel. Les règles et coutumes ne se sont établies, du moins selon la volonté des successeurs d'Olier, que dans la mesure où elles étaient en conformité avec l'esprit que M.
Olier avait voulu insuffler à la Société.
Mais qu'en fut-il durant les années qui suivirent la disparition du fondateur ? Bernard Pitaud décrit avec précision toute cette histoire et comment, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, la "petite Compagnie", selon le mot même d'Olier, a pris peu à peu la forme d'une institution, avec ses règles, ses coutumes et son esprit. Le mot "esprit" est ici essentiel. Les règles et coutumes ne se sont établies, du moins selon la volonté des successeurs d'Olier, que dans la mesure où elles étaient en conformité avec l'esprit que M.
Olier avait voulu insuffler à la Société.
On ne dira jamais assez combien le clergé catholique, en France et au Canada notamment, aura été marqué par la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice à travers la formation dispensée dans les séminaires. Fondée par Jean-Jacques Olier (1608-1657), grande figure de l'Ecole française de spiritualité, cette Compagnie entendait travailler ainsi à une réforme de l'Eglise en profondeur, dans le sillage du concile de Trente.
Mais qu'en fut-il durant les années qui suivirent la disparition du fondateur ? Bernard Pitaud décrit avec précision toute cette histoire et comment, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, la "petite Compagnie", selon le mot même d'Olier, a pris peu à peu la forme d'une institution, avec ses règles, ses coutumes et son esprit. Le mot "esprit" est ici essentiel. Les règles et coutumes ne se sont établies, du moins selon la volonté des successeurs d'Olier, que dans la mesure où elles étaient en conformité avec l'esprit que M.
Olier avait voulu insuffler à la Société.
Mais qu'en fut-il durant les années qui suivirent la disparition du fondateur ? Bernard Pitaud décrit avec précision toute cette histoire et comment, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, la "petite Compagnie", selon le mot même d'Olier, a pris peu à peu la forme d'une institution, avec ses règles, ses coutumes et son esprit. Le mot "esprit" est ici essentiel. Les règles et coutumes ne se sont établies, du moins selon la volonté des successeurs d'Olier, que dans la mesure où elles étaient en conformité avec l'esprit que M.
Olier avait voulu insuffler à la Société.