Saint-Pétersbourg : 1703-2003. Colloque international Université de Nantes, Centre International des Langues, 16 et 17 mai 2003

Par : Walter Zidaric

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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • Poids0.36 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-9521752-0-9
  • EAN9782952175203
  • Date de parution01/04/2004
  • ÉditeurCRINI

Résumé

Le 16 mai 1703, le tsar Pierre le Grand donnait le premier coup de pioche à ce qui allait devenir la nouvelle capitale de la Russie jusqu'à la révolution de 1917. Porte de l'Europe, la ville devint rapidement le théâtre de l'occidentalisation des élites russes, puis naturellement de l'introduction des idées libérales et révolutionnaires. Mythe chanté par Pouchkine, Gogol, Dostoïevski, Akhmatova et tant d'autres, la cité s'est imposée dans l'imaginaire collectif russe et européen. Russifiant son nom en Petrograd au début de la Grande Guerre, la ville engendra les révolutions de 1917. Après le transfert de la capitale à Moscou et la mort de Lénine, elle prit le nom de Leningrad. Libérée en 1944 d'un siège de 900 jours soutenu vaillamment, elle se finit aussitôt à la reconstruction de son patrimoine détruit. Reprenant son ancien non de Saint-Pétersbourg en 1991, elle a depuis retrouvé un rôle de tout premier plan à l'intérieur de la Russie qui lui permet de rayonner comme autrefois, en particulier du point de vue artistique et culturel. Il était donc naturel que la ville de Nantes, grand port de l'Atlantique historiquement tourné vers l'Ouest, rende hommage, à la cité de Saint-Pétersbourg, grand port de la Baltique, fenêtre sur l'Occident à l'autre extrémité de l'Europe.
Le 16 mai 1703, le tsar Pierre le Grand donnait le premier coup de pioche à ce qui allait devenir la nouvelle capitale de la Russie jusqu'à la révolution de 1917. Porte de l'Europe, la ville devint rapidement le théâtre de l'occidentalisation des élites russes, puis naturellement de l'introduction des idées libérales et révolutionnaires. Mythe chanté par Pouchkine, Gogol, Dostoïevski, Akhmatova et tant d'autres, la cité s'est imposée dans l'imaginaire collectif russe et européen. Russifiant son nom en Petrograd au début de la Grande Guerre, la ville engendra les révolutions de 1917. Après le transfert de la capitale à Moscou et la mort de Lénine, elle prit le nom de Leningrad. Libérée en 1944 d'un siège de 900 jours soutenu vaillamment, elle se finit aussitôt à la reconstruction de son patrimoine détruit. Reprenant son ancien non de Saint-Pétersbourg en 1991, elle a depuis retrouvé un rôle de tout premier plan à l'intérieur de la Russie qui lui permet de rayonner comme autrefois, en particulier du point de vue artistique et culturel. Il était donc naturel que la ville de Nantes, grand port de l'Atlantique historiquement tourné vers l'Ouest, rende hommage, à la cité de Saint-Pétersbourg, grand port de la Baltique, fenêtre sur l'Occident à l'autre extrémité de l'Europe.
La Tosca
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