Ritournelle de la faim
Edition en gros caractères

Par : Jean-Marie-Gustave Le Clézio

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  • PrésentationBroché
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids0.366 kg
  • ISBN978-2-84011-874-9
  • EAN9782840118749
  • Date de parution01/01/2009
  • CollectionRoman
  • ÉditeurFeryane

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.4/5
sur 9 notes dont 1 avis lecteur
chronique familiale
Ce résumé peut paraître fade, mais l’écriture dense de Le Clézio en fait un tout autre livre. Ce livre contient, de par son écriture, une certaine impatience, une frustration qui me l’a fait dévorer en 2 soirées… la ritournelle de la faim. Je ne me suis pas sentie spoliée par le survol de la vie d’Ethel tant était grande la faim d’aller plus avant. Dans le prologue, Le Clezio nous relate sa prime enfance où il a connu la faim de n’avoir pas assez à manger pendant la guerre, puis il nous met en garde : « c’est d’une autre faim qu’il sera question dans l’histoire qui va suivre ». Cette faim c’est le besoin qu’à Ethel de pas être comme ses parents, de survivre aux tourments de la guerre, de se surpasser lorsqu’elle prend les rênes de la maison et décide d’aller à Nice. La fin du livre nous renseigne sur cette belle personne qu’est Ethel : il s’agit de sa mère. Il y a 2 parties très distinctes dans ce livre. La première, mélancolique, surannée, où Le Clézio relate plusieurs épisodes marquants de la vie d’Ethel et la seconde, bien que très noire me semble plus constructive. Là Ethel est plus actrice que spectatrice, ose et va de l’avant. Le titre « ritournelle de la faim » fait référence au boléro de Ravel dont il n’est question qu’en fin de livre mais qui me semble éclairer la construction du livre J’ai aimé lire ce livre si bien écrit, mais il a fallu qu’il murisse en moi. Je relirai d’autres livres de J.M.G. LE CLEZIO
Ce résumé peut paraître fade, mais l’écriture dense de Le Clézio en fait un tout autre livre. Ce livre contient, de par son écriture, une certaine impatience, une frustration qui me l’a fait dévorer en 2 soirées… la ritournelle de la faim. Je ne me suis pas sentie spoliée par le survol de la vie d’Ethel tant était grande la faim d’aller plus avant. Dans le prologue, Le Clezio nous relate sa prime enfance où il a connu la faim de n’avoir pas assez à manger pendant la guerre, puis il nous met en garde : « c’est d’une autre faim qu’il sera question dans l’histoire qui va suivre ». Cette faim c’est le besoin qu’à Ethel de pas être comme ses parents, de survivre aux tourments de la guerre, de se surpasser lorsqu’elle prend les rênes de la maison et décide d’aller à Nice. La fin du livre nous renseigne sur cette belle personne qu’est Ethel : il s’agit de sa mère. Il y a 2 parties très distinctes dans ce livre. La première, mélancolique, surannée, où Le Clézio relate plusieurs épisodes marquants de la vie d’Ethel et la seconde, bien que très noire me semble plus constructive. Là Ethel est plus actrice que spectatrice, ose et va de l’avant. Le titre « ritournelle de la faim » fait référence au boléro de Ravel dont il n’est question qu’en fin de livre mais qui me semble éclairer la construction du livre J’ai aimé lire ce livre si bien écrit, mais il a fallu qu’il murisse en moi. Je relirai d’autres livres de J.M.G. LE CLEZIO
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
J. M. G. Le Clézio est né à Nice le 13 avril 1940. Il est originaire d'une famille de Bretagne émigrée à l'île Maurice au XVIIe siècle. Il a poursuivi des études au collège littéraire universitaire de Nice et est docteur ès lettres. Malgré de nombreux voyages, J. M. G. Le Clézio n'a jamais cessé d'écrire depuis l'âge de sept ou huit ans : poèmes, contes, récits, nouvelles, dont aucun n'avait été publié avant "Le Procès-verbal", son premier roman paru en septembre 1963 et qui obtint le prix Renaudot. Influencée par ses origines familiales mêlées, par ses voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, son oeuvre compte une cinquantaine d'ouvrages. En 1980, il a reçu le grand prix Paul-Morand décerné par l'Académie française pour son roman "Désert". En 2008, l'Académie suédoise a attribué à J. M. G. Le Clézio le prix Nobel de littérature, célébrant "l'écrivain de la rupture, de l'aventure poétique et de l'extase sensuelle, l'explorateur d'une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante".
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