Révolution & compromis. Invention d'une solution aux incertitudes de la transition démocratique en Tunisie
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- Nombre de pages471
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.25 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-9938-940-02-2
- EAN9789938940022
- Date de parution01/03/2017
- ÉditeurNirvana
Résumé
Au-delà de la diversité socioculturelle et de la variété des valeurs au sein de la société tunisienne, une question centrale se pose : comment construire un monde pluriel, mais commun ? Comment faire cohabiter des visions divergentes : "moderniste" et "islamiste" ? Comment rendre les différences idéologiques compatibles ? Comment préserver le pluralisme politique et culturel ? En somme, comment garantir le vivre-ensemble, organiser des institutions ; comment gouverner la vie des individus, des groupes sociaux et celle de la Cité en tenant compte de leur diversité et en reconnaissant leur spécificité ? Depuis la révolution de 2010/2011, de nombreuses questions se posent aussi bien pour les Tunisiens que pour les observateurs avertis : pourquoi la Tunisie est le seul pays, dudit "printemps arabe", à avoir "réussi" sa "révolution" ? Pour quelles raisons le processus révolutionnaire n'a pas dégénéré en violence, malgré les assassinats politiques et le développement du terrorisme ? Dans quelle mesure le compromis constitue un rempart contre la violence ? Est-il pertinent de parler d'"exception tunisienne" ? En réunissant les meilleurs spécialistes en la matière, cet ouvrage collectif a l'ambition de développer une réflexion sociohistorique transversale et comparative à partir du prisme de l'idée-force de compromis.
Le champ d'investigation est centré sur la société tunisienne, mais un regard comparatif sur d'autres expériences nationales de compromis permet d'alimenter le débat. D'où l'intérêt porté à des pays occidentaux - Allemagne, Belgique, Italie et Etats-Unis - mais aussi à d'autres pays arabes - Algérie, Liban, notamment.
Le champ d'investigation est centré sur la société tunisienne, mais un regard comparatif sur d'autres expériences nationales de compromis permet d'alimenter le débat. D'où l'intérêt porté à des pays occidentaux - Allemagne, Belgique, Italie et Etats-Unis - mais aussi à d'autres pays arabes - Algérie, Liban, notamment.
Au-delà de la diversité socioculturelle et de la variété des valeurs au sein de la société tunisienne, une question centrale se pose : comment construire un monde pluriel, mais commun ? Comment faire cohabiter des visions divergentes : "moderniste" et "islamiste" ? Comment rendre les différences idéologiques compatibles ? Comment préserver le pluralisme politique et culturel ? En somme, comment garantir le vivre-ensemble, organiser des institutions ; comment gouverner la vie des individus, des groupes sociaux et celle de la Cité en tenant compte de leur diversité et en reconnaissant leur spécificité ? Depuis la révolution de 2010/2011, de nombreuses questions se posent aussi bien pour les Tunisiens que pour les observateurs avertis : pourquoi la Tunisie est le seul pays, dudit "printemps arabe", à avoir "réussi" sa "révolution" ? Pour quelles raisons le processus révolutionnaire n'a pas dégénéré en violence, malgré les assassinats politiques et le développement du terrorisme ? Dans quelle mesure le compromis constitue un rempart contre la violence ? Est-il pertinent de parler d'"exception tunisienne" ? En réunissant les meilleurs spécialistes en la matière, cet ouvrage collectif a l'ambition de développer une réflexion sociohistorique transversale et comparative à partir du prisme de l'idée-force de compromis.
Le champ d'investigation est centré sur la société tunisienne, mais un regard comparatif sur d'autres expériences nationales de compromis permet d'alimenter le débat. D'où l'intérêt porté à des pays occidentaux - Allemagne, Belgique, Italie et Etats-Unis - mais aussi à d'autres pays arabes - Algérie, Liban, notamment.
Le champ d'investigation est centré sur la société tunisienne, mais un regard comparatif sur d'autres expériences nationales de compromis permet d'alimenter le débat. D'où l'intérêt porté à des pays occidentaux - Allemagne, Belgique, Italie et Etats-Unis - mais aussi à d'autres pays arabes - Algérie, Liban, notamment.