Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce deuxième volume des Recherches sur la Philosophie de la Psychologie reproduit la dactylographie N° 232 du Nachlass wittgensteinien, ce qui veut dire...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 8 octobre
En librairie
Résumé
Ce deuxième volume des Recherches sur la Philosophie de la Psychologie reproduit la dactylographie N° 232 du Nachlass wittgensteinien, ce qui veut dire que le texte remonte à l'automne de 1948. Il permet de comprendre parfaitement la célèbre assertion du dernier paragraphe des Investigations, selon laquelle les recherches de L. W. sur la psychologie ne sont pas plus psychologiques que ses recherches sur les mathématiques ne sont mathématiques.
En témoignent l'inlassable reprise des énigmes du " voir comme ", la mise en garde contre le mauvais usage de la notion de " représentation " aussi bien que contre les " évidences " qui paraissent imposer celle d' " intériorité ", bref la chasse aux illusions métaphysiques.
Toutefois le principal intérêt de ce texte est positif on le trouvera, selon moi, dans la démonstration du fait que c'est l'exemple qui donne sens à la règle, comme dans la mise en valeur, des relations internes dont est tissé notre rapport au monde, ou plutôt le monde même. Ainsi lira-t-on les remarques sur la logique des couleurs et celle de la certitude, qui, on le sait, occuperont bientôt entièrement les dernières années de Wittgenstein.
G.G.