Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les Lectures on Philosophical Psychology - 1946-1947 sont les tous derniers cours que Wittgenstein donna à Cambridge. L'édition qu'en a proposé Peter...
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Résumé
Les Lectures on Philosophical Psychology - 1946-1947 sont les tous derniers cours que Wittgenstein donna à Cambridge. L'édition qu'en a proposé Peter Geach est originale, puisqu'elle présente côte à côte les notes prises par K. Shah et par A.C. Jackson, et les siennes propres. Les analyses de ce cours recoupent très largement celles des dactylographies et des manuscrits postérieurs à 1945 consacrés aux questions de " philosophie de la psychologie ", et elles les éclairent sous bien des rapports. Elles visent en effet à proposer une approche non réductrice des concepts psychologiques, attentive à la complexité des " formes de vie " proprement humaines et aux rapports indissolubles qui les lient aux " jeux de langage ". L'analyse conceptuelle de l'expérience de la douleur, du simple voir et du " voir comme ", de l'expérience de la signification, mais aussi du savoir et de la croyance, ainsi que du mouvement volontaire, de la décision, de l'espoir, de la dépression, etc., permet à Wittgenstein d'établir une véritable topologie des concepts psychologiques qui reconnaît dans l'asymétrie de l'expression de l'expérience de la " propriété formelle " de ces concepts, mais qui n'en refuse pas moins catégoriquement de fonder l'asymétrie sur l'introspection (introspection que le cours soumet à la critique) et de mettre sur le même plan tous les concepts psychologiques. Les analogies existant entre eux et les relations qu'ils entretiennent (leurs " airs de famille ") ne sauraient en effet masquer le fait que des concepts comme savoir et espérer (par exemple) sont de nature totalement différente, et qu'au nombre des concepts psychologiques, il en est qui sont " primaires " et d'autres qui ne le sont pas... Aussi la topologie wittgensteinienne est-elle en réalité une généalogie.