Relevés de mise en scène (1686 - 1823). L'Homme à bonne fortune, Le Joueur, Le Distrait (Comédie - Française)
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- Nombre de pages706
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.835 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 3,2 cm
- ISBN978-2-7453-2718-5
- EAN9782745327185
- Date de parution01/03/2015
- CollectionL'âge des lumières
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
La présente édition montre la manière dont les acteurs de la Comédie-Française préparaient au XVIIIe siècle la reprise de pièces tirées du répertoire. Trois comédies, L'Homme à bonne fortune de Michel Baron, Le Joueur et Le Distrait de Jean-François Regnard furent jouées pour la première fois à la fin du XVIIe siècle et, par la suite, reprises de nombreuses fois. La superposition des relevés que nous proposons dans le présent ouvrage et les différentes strates de mise en scène formées par celle-ci, laissent apparaître clairement la génétique de la représentation.
La scène, parce qu'elle se métamorphose, est vouée à être un palimpseste et donc à refléter les interprétations d'une pièce du répertoire à différentes époques - lesquelles constituent une forme de signature artistique et le noyau de ce que l'on nomme, aujourd'hui, "la mise en scène moderne" .
La scène, parce qu'elle se métamorphose, est vouée à être un palimpseste et donc à refléter les interprétations d'une pièce du répertoire à différentes époques - lesquelles constituent une forme de signature artistique et le noyau de ce que l'on nomme, aujourd'hui, "la mise en scène moderne" .
La présente édition montre la manière dont les acteurs de la Comédie-Française préparaient au XVIIIe siècle la reprise de pièces tirées du répertoire. Trois comédies, L'Homme à bonne fortune de Michel Baron, Le Joueur et Le Distrait de Jean-François Regnard furent jouées pour la première fois à la fin du XVIIe siècle et, par la suite, reprises de nombreuses fois. La superposition des relevés que nous proposons dans le présent ouvrage et les différentes strates de mise en scène formées par celle-ci, laissent apparaître clairement la génétique de la représentation.
La scène, parce qu'elle se métamorphose, est vouée à être un palimpseste et donc à refléter les interprétations d'une pièce du répertoire à différentes époques - lesquelles constituent une forme de signature artistique et le noyau de ce que l'on nomme, aujourd'hui, "la mise en scène moderne" .
La scène, parce qu'elle se métamorphose, est vouée à être un palimpseste et donc à refléter les interprétations d'une pièce du répertoire à différentes époques - lesquelles constituent une forme de signature artistique et le noyau de ce que l'on nomme, aujourd'hui, "la mise en scène moderne" .