Des horizons peuplés des vestiges d’un monde et d’une époque, soviétique. Des histoires qui s’écrivent et se dévoilent dans les plis serrés de visages, dans les décors cendrés, majestueux qui les façonnent comme dans les nuits étoilées à se brûler la gorge à ciel ouvert, les mots de Tchinghiz Aïtmatov comme un talisman de voyage.
"Refuge au crépuscule" est un texte magnifique, un roadtrip porté par les vents de l’histoire et quelques grains de poussière.
Un périple arpenté d’humanités cabossées, d’âmes errantes avalées par l’immensité des steppes, des cimes découpés et la beauté magnétique et mystérieuse d’une culture et d’un pays, le Kirghizistan qui transpire dans les ciels marbrés de nuances, les architectures et les gens qui la portent.
Une culture qui vous attrape comme on cueille des images pour suturer les plaies d’une existence, cacher celles que l’on ne veut pas montrer, celles aussi qui portent en elle les reflets d’une existence.
Une histoire soufflée de deuil et d’amitié, d’exils et de rencontres, de fuites invisibles aux accents initiatiques.
Une lecture chargée d’échos comme de liens qui se font jour, une de ces histoires qui tangue, sensible et profonde, tracée au fusain comme un écrin d'altérité qui vous transperce.
Des horizons peuplés des vestiges d’un monde et d’une époque, soviétique. Des histoires qui s’écrivent et se dévoilent dans les plis serrés de visages, dans les décors cendrés, majestueux qui les façonnent comme dans les nuits étoilées à se brûler la gorge à ciel ouvert, les mots de Tchinghiz Aïtmatov comme un talisman de voyage.
"Refuge au crépuscule" est un texte magnifique, un roadtrip porté par les vents de l’histoire et quelques grains de poussière.
Un périple arpenté d’humanités cabossées, d’âmes errantes avalées par l’immensité des steppes, des cimes découpés et la beauté magnétique et mystérieuse d’une culture et d’un pays, le Kirghizistan qui transpire dans les ciels marbrés de nuances, les architectures et les gens qui la portent.
Une culture qui vous attrape comme on cueille des images pour suturer les plaies d’une existence, cacher celles que l’on ne veut pas montrer, celles aussi qui portent en elle les reflets d’une existence.
Une histoire soufflée de deuil et d’amitié, d’exils et de rencontres, de fuites invisibles aux accents initiatiques.
Une lecture chargée d’échos comme de liens qui se font jour, une de ces histoires qui tangue, sensible et profonde, tracée au fusain comme un écrin d'altérité qui vous transperce.