Réflexions sur la violence

Par : Georges Sorel
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  • Nombre de pages326
  • PrésentationBroché
  • Poids0.375 kg
  • Dimensions14,3 cm × 21,6 cm × 2,6 cm
  • ISBN2-02-009960-8
  • EAN9782020099608
  • Date de parution01/04/1990
  • ÉditeurSeuil
  • PréfacierJacques Julliard

Résumé

" Voici un livre qui nous est parvenu avec une bien mauvaise réputation et une postérité sulfureuse... Son sujet est au point d'intersection de trois concepts. Le premier, qui relève de la psychologie collective et qui passe souvent pour la contribution intellectuelle la plus originale de Sorel : c'est celui du mythe, entendu comme une représentation collective mobilisatrice ; le second, c'est la violence, et plus précisément le rôle de la violence dans les rapports entre classes et dans le développement historique ; le troisième est emprunté à l'événementiel de son temps : c'est l'idée de grève générale, comme forme enfin trouvée de révolution populaire et antiautoritaire... Sorel s'est trop approché des vraies questions du siècle qui s'ouvrait pour être demeuré rétrospectivement indemme. Pour avoir pris tous les risques, il en fait naturellement courir à son lecteur. Mais qui donc s'imagine que l'on puisse penser impunément ? " Jacques Julliard.
" Voici un livre qui nous est parvenu avec une bien mauvaise réputation et une postérité sulfureuse... Son sujet est au point d'intersection de trois concepts. Le premier, qui relève de la psychologie collective et qui passe souvent pour la contribution intellectuelle la plus originale de Sorel : c'est celui du mythe, entendu comme une représentation collective mobilisatrice ; le second, c'est la violence, et plus précisément le rôle de la violence dans les rapports entre classes et dans le développement historique ; le troisième est emprunté à l'événementiel de son temps : c'est l'idée de grève générale, comme forme enfin trouvée de révolution populaire et antiautoritaire... Sorel s'est trop approché des vraies questions du siècle qui s'ouvrait pour être demeuré rétrospectivement indemme. Pour avoir pris tous les risques, il en fait naturellement courir à son lecteur. Mais qui donc s'imagine que l'on puisse penser impunément ? " Jacques Julliard.
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