De la rue à la galerie, le street art a-t-il perdu son esprit dissident ? Autrefois subversif, il est désormais institutionnalisé, protégé sur certains murs, présent dans les musées et parfois moteur de gentrification. Dans le même temps, cette pratique artistique maintient un lien fort avec l'espace public qu'elle nourrit. Le dialogue entre l'art et la ville est alors favorisé auprès d'un large public.
Pourtant, s'agit-il désormais surtout d'un art devenu élitiste ou, issu de la rue, le street art échapperait-il encore (partiellement) au marché de l'art et aux commandes officielles ? A Bruxelles, si le graffiti garde une image négative, une nouvelle génération d'artistes urbains collabore avec les institutions, intervenant même dans le cadre de commandes officielles.
De la rue à la galerie, le street art a-t-il perdu son esprit dissident ? Autrefois subversif, il est désormais institutionnalisé, protégé sur certains murs, présent dans les musées et parfois moteur de gentrification. Dans le même temps, cette pratique artistique maintient un lien fort avec l'espace public qu'elle nourrit. Le dialogue entre l'art et la ville est alors favorisé auprès d'un large public.
Pourtant, s'agit-il désormais surtout d'un art devenu élitiste ou, issu de la rue, le street art échapperait-il encore (partiellement) au marché de l'art et aux commandes officielles ? A Bruxelles, si le graffiti garde une image négative, une nouvelle génération d'artistes urbains collabore avec les institutions, intervenant même dans le cadre de commandes officielles.