Quatre acteurs du dialogue islamo-chrétien

Par : Maurice Borrmans

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  • Nombre de pages154
  • PrésentationBroché
  • Poids0.288 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-7116-2706-6
  • EAN9782711627066
  • Date de parution24/08/2016
  • CollectionEtudes musulmanes
  • ÉditeurVrin
  • PréfacierHenri de La Hougue

Résumé

L'islam ne serait-il qu'une idéologie politique ou une affirmation identitaire comme veulent le faire croire les musulmans salafistes ou fondamentalistes ? Ceux-ci seraient-ils frappés d'amnésie par rapport au patrimoine humaniste ou à l'expérience spirituelle de leurs aînés ? Ou voudraient-ils donner raison à qui prétend que nous sommes témoins ou victimes d'un " choc " de civilisations ? Avec Mohammed Arkoun, ses " combats et propositions ", pour conjuguer " humanisme et islam " et avec beaucoup d'autres musulmans qui pensent comme lui (en songeant aux promesses de la " renaissance arabe " (nahda) d'il y a un siècle), les quatre philosophes et théologiens ici interrogés ont toujours voulu être des médiateurs entre culture arabe et spiritualité musulmane.
Roger Arnaldez, Robert Caspar, Jacques Jomier et Youakim Moubarac s'inscrivent en faux contre les prophètes de malheur : chacun, à sa manière, a voulu par l'étude, le dialogue et le partage construire des passerelles d'intercompréhension et des espaces de collaboration (alors que d'autres s'employaient à construire des murs de séparation ou à édifier des frontières infranchissables). Leurs écrits et leurs engagements témoignent qu'un dialogue est nécessaire et qu'une fraternité est possible.
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L'islam ne serait-il qu'une idéologie politique ou une affirmation identitaire comme veulent le faire croire les musulmans salafistes ou fondamentalistes ? Ceux-ci seraient-ils frappés d'amnésie par rapport au patrimoine humaniste ou à l'expérience spirituelle de leurs aînés ? Ou voudraient-ils donner raison à qui prétend que nous sommes témoins ou victimes d'un " choc " de civilisations ? Avec Mohammed Arkoun, ses " combats et propositions ", pour conjuguer " humanisme et islam " et avec beaucoup d'autres musulmans qui pensent comme lui (en songeant aux promesses de la " renaissance arabe " (nahda) d'il y a un siècle), les quatre philosophes et théologiens ici interrogés ont toujours voulu être des médiateurs entre culture arabe et spiritualité musulmane.
Roger Arnaldez, Robert Caspar, Jacques Jomier et Youakim Moubarac s'inscrivent en faux contre les prophètes de malheur : chacun, à sa manière, a voulu par l'étude, le dialogue et le partage construire des passerelles d'intercompréhension et des espaces de collaboration (alors que d'autres s'employaient à construire des murs de séparation ou à édifier des frontières infranchissables). Leurs écrits et leurs engagements témoignent qu'un dialogue est nécessaire et qu'une fraternité est possible.
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