QU'EST-CE QUE PENSER, CALCULER ? Hobbes, Leibniz et Boole
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages127
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.1 kg
- Dimensions11,4 cm × 17,7 cm × 0,6 cm
- ISBN2-7116-1106-X
- EAN9782711611065
- Date de parution01/01/1992
- CollectionPré-textes
- ÉditeurVrin
Résumé
Il existe une réelle méfiance des philosophes en face de toute tentative d'assimilation de la pensée à un calcul. D'abord l'usage philosophique des nombres ne renvoie qu'à un passé de l'esprit. Ensuite le calcul est censé faire violence à la pensée. Le philosophe n'a cessé d'insister sur ce point, condamnant d'ailleurs philosophiquement et pédagogiquement l'arithmétique. Ainsi, assimiler la pensée au calcul relèverait pour la philosophie du pur comique.
Alors, qu'on se le dise : voici un livre voué au pur comique, à la caducité, peut-être à la violence. Nous sentons le soufre, on nous le répète, nous l'acceptons. Nos détracteurs, pour quelque temps encore, peuvent rire des machines à calculer, c'est-à-dire à penser. Mais rira bien qui rira le dernier.
Alors, qu'on se le dise : voici un livre voué au pur comique, à la caducité, peut-être à la violence. Nous sentons le soufre, on nous le répète, nous l'acceptons. Nos détracteurs, pour quelque temps encore, peuvent rire des machines à calculer, c'est-à-dire à penser. Mais rira bien qui rira le dernier.
Il existe une réelle méfiance des philosophes en face de toute tentative d'assimilation de la pensée à un calcul. D'abord l'usage philosophique des nombres ne renvoie qu'à un passé de l'esprit. Ensuite le calcul est censé faire violence à la pensée. Le philosophe n'a cessé d'insister sur ce point, condamnant d'ailleurs philosophiquement et pédagogiquement l'arithmétique. Ainsi, assimiler la pensée au calcul relèverait pour la philosophie du pur comique.
Alors, qu'on se le dise : voici un livre voué au pur comique, à la caducité, peut-être à la violence. Nous sentons le soufre, on nous le répète, nous l'acceptons. Nos détracteurs, pour quelque temps encore, peuvent rire des machines à calculer, c'est-à-dire à penser. Mais rira bien qui rira le dernier.
Alors, qu'on se le dise : voici un livre voué au pur comique, à la caducité, peut-être à la violence. Nous sentons le soufre, on nous le répète, nous l'acceptons. Nos détracteurs, pour quelque temps encore, peuvent rire des machines à calculer, c'est-à-dire à penser. Mais rira bien qui rira le dernier.