Meteores. Essai Sur Le Ciel Et La Cite
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- Nombre de pages256
- FormatPDF
- ISBN979-10-267-0569-7
- EAN9791026705697
- Date de parution29/05/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurEditions Champ Vallon
Résumé
Autrefois, les nuages craquaient comme des sacs (Anaximandre). On poétisait sur le soleil (Héraclite), on moralisait les vents et les courants (Epicure, Sénèque). On confondait tout: comètes, étoiles filantes, tremblements de terre... Et les météores étaient en nous, autant qu'hors de nous. Mais - triomphe du mécanisme - on découvrit bientôt la fabrique de l'arc-en-ciel (Descartes), l'équilibre des pressions (Torricelli, Pascal), la pompe à vide, et avec eux les instruments classiques (baromètre.
thermomètre, hygromètre, anémomètre...). Alors on classe, on tabule, on multiplie les relevés (Borda, Lavoisier). Encore un peu et l'on préviendra les tempêtes (Le Verrier), on pourra choisir les traversées (Maury). Et voici les premières théories de la circulation de l'atmosphère, l'explication des cyclones et des anticyclones. La Terre, de l'équateur aux pôles: immense machine thermodynamique. Enfin viendra l'informatique et ses programmes.
La prévision, mais aussi ses limites, l'« effet papillon » (Lorenz). Eternuez, dix mille morts. Vous êtes pris d'un léger doute ? D'un vertige ? Ce livre, qui retrace une histoire millénaire et riche en images (de l'âme du monde à l'hypothèse Gaïa), montre que la météorologie, merveilleuse interdiscipline, devrait concerner tout le monde : le spécialiste des sciences humaines comme l'homme politique ...
Le familier du ciel comme l'ami de la cité. Il rappelle également que c'est un grand thème que l'idée d'une science du changement, sur lequel les savants ont beaucoup écrit, les poètes beaucoup rêvé... Enfin, il invite le philosophe à s'aérer. Ne serait-ce que pour mieux comprendre notre actuelle atmosphère informationnelle.
thermomètre, hygromètre, anémomètre...). Alors on classe, on tabule, on multiplie les relevés (Borda, Lavoisier). Encore un peu et l'on préviendra les tempêtes (Le Verrier), on pourra choisir les traversées (Maury). Et voici les premières théories de la circulation de l'atmosphère, l'explication des cyclones et des anticyclones. La Terre, de l'équateur aux pôles: immense machine thermodynamique. Enfin viendra l'informatique et ses programmes.
La prévision, mais aussi ses limites, l'« effet papillon » (Lorenz). Eternuez, dix mille morts. Vous êtes pris d'un léger doute ? D'un vertige ? Ce livre, qui retrace une histoire millénaire et riche en images (de l'âme du monde à l'hypothèse Gaïa), montre que la météorologie, merveilleuse interdiscipline, devrait concerner tout le monde : le spécialiste des sciences humaines comme l'homme politique ...
Le familier du ciel comme l'ami de la cité. Il rappelle également que c'est un grand thème que l'idée d'une science du changement, sur lequel les savants ont beaucoup écrit, les poètes beaucoup rêvé... Enfin, il invite le philosophe à s'aérer. Ne serait-ce que pour mieux comprendre notre actuelle atmosphère informationnelle.
Autrefois, les nuages craquaient comme des sacs (Anaximandre). On poétisait sur le soleil (Héraclite), on moralisait les vents et les courants (Epicure, Sénèque). On confondait tout: comètes, étoiles filantes, tremblements de terre... Et les météores étaient en nous, autant qu'hors de nous. Mais - triomphe du mécanisme - on découvrit bientôt la fabrique de l'arc-en-ciel (Descartes), l'équilibre des pressions (Torricelli, Pascal), la pompe à vide, et avec eux les instruments classiques (baromètre.
thermomètre, hygromètre, anémomètre...). Alors on classe, on tabule, on multiplie les relevés (Borda, Lavoisier). Encore un peu et l'on préviendra les tempêtes (Le Verrier), on pourra choisir les traversées (Maury). Et voici les premières théories de la circulation de l'atmosphère, l'explication des cyclones et des anticyclones. La Terre, de l'équateur aux pôles: immense machine thermodynamique. Enfin viendra l'informatique et ses programmes.
La prévision, mais aussi ses limites, l'« effet papillon » (Lorenz). Eternuez, dix mille morts. Vous êtes pris d'un léger doute ? D'un vertige ? Ce livre, qui retrace une histoire millénaire et riche en images (de l'âme du monde à l'hypothèse Gaïa), montre que la météorologie, merveilleuse interdiscipline, devrait concerner tout le monde : le spécialiste des sciences humaines comme l'homme politique ...
Le familier du ciel comme l'ami de la cité. Il rappelle également que c'est un grand thème que l'idée d'une science du changement, sur lequel les savants ont beaucoup écrit, les poètes beaucoup rêvé... Enfin, il invite le philosophe à s'aérer. Ne serait-ce que pour mieux comprendre notre actuelle atmosphère informationnelle.
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Le familier du ciel comme l'ami de la cité. Il rappelle également que c'est un grand thème que l'idée d'une science du changement, sur lequel les savants ont beaucoup écrit, les poètes beaucoup rêvé... Enfin, il invite le philosophe à s'aérer. Ne serait-ce que pour mieux comprendre notre actuelle atmosphère informationnelle.