Qu'est-ce que la ville créative ?
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- Nombre de pages89
- PrésentationBroché
- Poids0.118 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-13-057883-3
- EAN9782130578833
- Date de parution25/11/2009
- CollectionLa ville en débat
- ÉditeurPUF
Résumé
Les maires des grandes villes affirment tous que leur préoccupation première est de développer l'attractivité de leur cité. Comment ? En faisant de celle-ci un lieu propice à la créativité, en y combinant les ressources du talent, de la tolérance et de la technologie : c'est la recette proposée par le géographe et économiste Richard Florida pour réunir sous l'enseigne de " classe créative " artistes, intellectuels et prestataires de services aux grandes firmes. Un tel assemblage va-t-il de soi ? Il mêle hâtivement deux phénomènes distincts : d'une part, le processus de " gentrification " urbaine par lequel les " créateurs " - artistes et professions culturelles et intellectuelles - réinvestissent la ville, lieu d'opportunités et de rencontres ; d'autre part, un traitement volontariste et foncier du paysage urbain destiné à attirer les " créatifs " de la publicité et des banques. Mais peut-on attirer les " créatifs " sans faire fuir les " créateurs " ?
Les maires des grandes villes affirment tous que leur préoccupation première est de développer l'attractivité de leur cité. Comment ? En faisant de celle-ci un lieu propice à la créativité, en y combinant les ressources du talent, de la tolérance et de la technologie : c'est la recette proposée par le géographe et économiste Richard Florida pour réunir sous l'enseigne de " classe créative " artistes, intellectuels et prestataires de services aux grandes firmes. Un tel assemblage va-t-il de soi ? Il mêle hâtivement deux phénomènes distincts : d'une part, le processus de " gentrification " urbaine par lequel les " créateurs " - artistes et professions culturelles et intellectuelles - réinvestissent la ville, lieu d'opportunités et de rencontres ; d'autre part, un traitement volontariste et foncier du paysage urbain destiné à attirer les " créatifs " de la publicité et des banques. Mais peut-on attirer les " créatifs " sans faire fuir les " créateurs " ?