Le carburant qui anime les personnages de Printeurs se révèle être un mélange de volonté implacable et de rancœur face à un système empoisonné, et cela, Ploum nous le fait bien comprendre au travers de ses réflexions acides, mais réels, sur l'état actuel de l'humanité. Nos protagonistes esseulés explorent les confins d'un monde impitoyable, ultra-policier et consumériste à souhait, où chaque désir formulé peut être assouvi à la seconde-même, au moyen d'implants neuraux.
Un brin plus violent et anticapitaliste que le Cyberpunk de Gibson, Printeurs offre un certain vent de fraîcheur en évoquant de manière plus poussé la puissance de l'informatique, des GAFAM, mais aussi d'inventions encore naissantes comme l'imprimante 3D, socle de tout le récit. Dommage cependant que le final soit aussi abscon et ouvre à un deuxième volume, moi qui espérait une lecture one-shot.
Le carburant qui anime les personnages de Printeurs se révèle être un mélange de volonté implacable et de rancœur face à un système empoisonné, et cela, Ploum nous le fait bien comprendre au travers de ses réflexions acides, mais réels, sur l'état actuel de l'humanité. Nos protagonistes esseulés explorent les confins d'un monde impitoyable, ultra-policier et consumériste à souhait, où chaque désir formulé peut être assouvi à la seconde-même, au moyen d'implants neuraux.
Un brin plus violent et anticapitaliste que le Cyberpunk de Gibson, Printeurs offre un certain vent de fraîcheur en évoquant de manière plus poussé la puissance de l'informatique, des GAFAM, mais aussi d'inventions encore naissantes comme l'imprimante 3D, socle de tout le récit. Dommage cependant que le final soit aussi abscon et ouvre à un deuxième volume, moi qui espérait une lecture one-shot.