Prix Fetkann ! de la Recherche

Prendre nom aux Antilles. Individu et appartenances (XVIIe-XIXe siècle)

Par : Vincent Cousseau

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages400
  • PrésentationBroché
  • Poids0.674 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-7355-0783-2
  • EAN9782735507832
  • Date de parution10/01/2013
  • CollectionCTHS-Histoire
  • ÉditeurCTHS
  • PréfacierDanielle Bégot

Résumé

Du XVIIe siècle à 1848, la Martinique - comme la Guadeloupe et les îles de colonisation française de la Caraïbe - voit se développer sur son sol une société radicalement nouvelle fondée sur l'exploitation esclavagiste. Sur plus de deux siècles se façonne une société créole où hommes, femmes et enfants se distinguent par leur statut juridique et leur couleur de peau. L'ouvrage de Vincent Cousseau offre un regard original sur la population antillaise d'Ancien Régime en proposant l'analyse du prénom comme clé de lecture.
Véritable miroir social, le nom (de baptême ou d'usage, le sobriquet ou le surnom) pose avec acuité la question des échanges culturels et de la transmission. C'est cette histoire, faite de destins individuels et collectifs, de petits messages délivrés et de contraintes subies, que nous révèlent les Pierre, Césaire, Rose, Marie Arada et Liberto...
Du XVIIe siècle à 1848, la Martinique - comme la Guadeloupe et les îles de colonisation française de la Caraïbe - voit se développer sur son sol une société radicalement nouvelle fondée sur l'exploitation esclavagiste. Sur plus de deux siècles se façonne une société créole où hommes, femmes et enfants se distinguent par leur statut juridique et leur couleur de peau. L'ouvrage de Vincent Cousseau offre un regard original sur la population antillaise d'Ancien Régime en proposant l'analyse du prénom comme clé de lecture.
Véritable miroir social, le nom (de baptême ou d'usage, le sobriquet ou le surnom) pose avec acuité la question des échanges culturels et de la transmission. C'est cette histoire, faite de destins individuels et collectifs, de petits messages délivrés et de contraintes subies, que nous révèlent les Pierre, Césaire, Rose, Marie Arada et Liberto...