Cher Vous,
Aka, Utu, Zulu, Mapuche, Condor… autant d’ethno-polars qui ont fait le succès de Caryl Férey.
Avec Pourvu que ça brûle, l’auteur se livre avec pudeur mais sans tabou sur le Caryl jeune adulte, ses travers, sa colère et ses fêlures puis, sur ses débuts en écriture et enfin sur l’arrivée du succès.
« […] sous ma peau d’écorché, face à la petitesse d’un monde qui ne savait que compter, ma colère n’avait pas de limites. »
Et si Caryl Ferey ne s’attarde pas sur son processus d’écriture, il révèle surtout comment, lors de ses road-trip, naissent
les personnages emblématiques de ses romans mais surtout comment il enquête au plus près des populations qu’il souhaite mettre en lumière à travers ses histoires.
Il est assez fascinant de découvrir comment de la visite d’un pays et de la découverte d’un paysage nait subitement une scène emblématique de l’un des romans de Caryl Férey.
Ce qui est particulièrement intéressant dans ce récit autobiographique est la sensibilité et l’humanité que l’auteur place dans les rencontres qu’il fera au cours de ses voyages et qu’il restituera au fil de ses histoires… avec rage et violence mais aussi avec amour !
Pour ceux qui ont déjà lu Caryl Férey, il n’est plus à démontrer à quel point l’auteur est engagé dans les causes qui lui semblent juste, à quel point il est indigné par le sort réservé aux minorités quel qu’elles soient.
« Mes livres, dorénavant, seraient politiques – tendance pas de quartier. »
Mais avec Pourvu que ça brûle, le lecteur découvre un auteur à fleur de peau, à vif, altruiste, féministe, touchant.
Un récit à cent à l’heure… à l’écriture brute, fulgurante, voir même acide...mais assurément Punk !
Fascinant et intense !
http://cecibondelire.canalblog.com/2024/04/pourvu-que-ca-brule-de-caryl-ferey.html
Fascinant et intense !
Cher Vous,
Aka, Utu, Zulu, Mapuche, Condor… autant d’ethno-polars qui ont fait le succès de Caryl Férey.
Avec Pourvu que ça brûle, l’auteur se livre avec pudeur mais sans tabou sur le Caryl jeune adulte, ses travers, sa colère et ses fêlures puis, sur ses débuts en écriture et enfin sur l’arrivée du succès.
« […] sous ma peau d’écorché, face à la petitesse d’un monde qui ne savait que compter, ma colère n’avait pas de limites. »
Et si Caryl Ferey ne s’attarde pas sur son processus d’écriture, il révèle surtout comment, lors de ses road-trip, naissent les personnages emblématiques de ses romans mais surtout comment il enquête au plus près des populations qu’il souhaite mettre en lumière à travers ses histoires.
Il est assez fascinant de découvrir comment de la visite d’un pays et de la découverte d’un paysage nait subitement une scène emblématique de l’un des romans de Caryl Férey.
Ce qui est particulièrement intéressant dans ce récit autobiographique est la sensibilité et l’humanité que l’auteur place dans les rencontres qu’il fera au cours de ses voyages et qu’il restituera au fil de ses histoires… avec rage et violence mais aussi avec amour !
Pour ceux qui ont déjà lu Caryl Férey, il n’est plus à démontrer à quel point l’auteur est engagé dans les causes qui lui semblent juste, à quel point il est indigné par le sort réservé aux minorités quel qu’elles soient.
« Mes livres, dorénavant, seraient politiques – tendance pas de quartier. »
Mais avec Pourvu que ça brûle, le lecteur découvre un auteur à fleur de peau, à vif, altruiste, féministe, touchant.
Un récit à cent à l’heure… à l’écriture brute, fulgurante, voir même acide...mais assurément Punk !
Fascinant et intense !
http://cecibondelire.canalblog.com/2024/04/pourvu-que-ca-brule-de-caryl-ferey.html