Entre terres et mers, des confins du Médoc, aux confins du monde, du Brésil à Goa, sur la route trépidante des Indes, Marie, Diogo, Fernando, trois destinés prises dans la fureur d’un monde en ébullition. Le 17e siècle, entre tempêtes, combats, conquêtes, une épopée dingue des paysages qu’elle esquisse.
Ample, vaste, gourmand des mondes qu’il explore, des imaginaires qu’il empoigne dans l’encre d’une plume riche et précise, gorgée de détails et d’élans, un texte qui à l’épaisseur et le mystère de ces vieux grimoires poussiéreux, qui embrasse l’histoire et ses remous, des existences qui se cherchent, avec un appétit démesurément contagieux.
Pour mourir le monde, et pourquoi pas en esquisser d’autres, ivre de révoltes et de liberté, loin de ce qui nous enferme.
Une odyssée passionnante, un premier roman détonnant, soufflée d’aventures et d’ambiances, de frontières comme de géographies, intime et collective, un grand A comme étendard.
Entre terres et mers, des confins du Médoc, aux confins du monde, du Brésil à Goa, sur la route trépidante des Indes, Marie, Diogo, Fernando, trois destinés prises dans la fureur d’un monde en ébullition. Le 17e siècle, entre tempêtes, combats, conquêtes, une épopée dingue des paysages qu’elle esquisse.
Ample, vaste, gourmand des mondes qu’il explore, des imaginaires qu’il empoigne dans l’encre d’une plume riche et précise, gorgée de détails et d’élans, un texte qui à l’épaisseur et le mystère de ces vieux grimoires poussiéreux, qui embrasse l’histoire et ses remous, des existences qui se cherchent, avec un appétit démesurément contagieux.
Pour mourir le monde, et pourquoi pas en esquisser d’autres, ivre de révoltes et de liberté, loin de ce qui nous enferme.
Une odyssée passionnante, un premier roman détonnant, soufflée d’aventures et d’ambiances, de frontières comme de géographies, intime et collective, un grand A comme étendard.