J’avais lu avec passion les deux premiers volumes, et j’étais impatiente de découvrir « La fortune ». Et puis lecture, et désarroi… Alors c’est comme ça que finit la gloire ?
J’ai été déroutée, autant que le lieutenant Calma qui se trouve ne pas être au bout du monde, mais au milieu de nulle part ! « L’homme est la mesure de toute chose » disait Protagoras. Ce dernier tome fait étrangement écho à la philosophie ancienne, quelle meilleure conclusion pour une série aussi réussie ?
J’avais lu avec passion les deux premiers volumes, et j’étais impatiente de découvrir « La fortune ». Et puis lecture, et désarroi… Alors c’est comme ça que finit la gloire ?
J’ai été déroutée, autant que le lieutenant Calma qui se trouve ne pas être au bout du monde, mais au milieu de nulle part ! « L’homme est la mesure de toute chose » disait Protagoras. Ce dernier tome fait étrangement écho à la philosophie ancienne, quelle meilleure conclusion pour une série aussi réussie ?