Quand on vous parle de récit post-apo, vous pensez sans doute à des communautés de survivants hagards, à des terres dévastées battues par les vents et les pillards, à une nation autoritaire et ses soldats un tantinet nazis. Il y a peu de chance que vous pensiez tout de suite à une partie de balle aux prisonniers... cet album va changer cela. Merwan, que l'on connaît pour ses collaborations sur L'Or et le Sang ou Pour l'Empire, déstructure légèrement le récit post-apo en lui insufflant un brin de bonne humeur totalement bienvenue. Un texte crédible et plutôt terre-à-terre, un
trait souple et des couleurs vives et chaudes, c'est tout ce qu'il fallait pour faire de ce récit de SF (en un seul volume svp) un grand du genre.
A vos ballons.
Imaginez Mad Max dans Dodgeball
Quand on vous parle de récit post-apo, vous pensez sans doute à des communautés de survivants hagards, à des terres dévastées battues par les vents et les pillards, à une nation autoritaire et ses soldats un tantinet nazis. Il y a peu de chance que vous pensiez tout de suite à une partie de balle aux prisonniers... cet album va changer cela. Merwan, que l'on connaît pour ses collaborations sur L'Or et le Sang ou Pour l'Empire, déstructure légèrement le récit post-apo en lui insufflant un brin de bonne humeur totalement bienvenue. Un texte crédible et plutôt terre-à-terre, un trait souple et des couleurs vives et chaudes, c'est tout ce qu'il fallait pour faire de ce récit de SF (en un seul volume svp) un grand du genre.
A vos ballons.