Plumes et poils de Roubaiyat

Par : Salah Jahine, Walid Taher

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages24
  • PrésentationBroché
  • Poids0.09 kg
  • Dimensions17,0 cm × 22,0 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-919511-17-4
  • EAN9782919511174
  • Date de parution29/03/2016
  • ÉditeurLe Port a jauni

Résumé

Les Roubaiyât de Salah Jahine sont des quatrains à l’image de ceux d’Omar Khayyam : philosophiques, humoristiques, ludiques, ils s’achèvent toujours par une exclamation déconcertée : ‘agabî ! (que l’on pourrait traduire par « bizarre, bizarre !», ou encore « étonnant, non ? «). Les poèmes sont écrits en dialecte égyptien et jouent avec toute la truculence de cette langue populaire. Ces quatrains sont une méditation sur la vie, la mort, la joie, le temps qui passe, l’innocence, l’absurdité du monde, sa fatalité, son origine, sa raison d’être et de tourner, la cruauté...
L’oeuvre de Salah Jahine est prolifique puisqu’il a écrit plus de 240 roubaiyat qui peuvent être classées par thèmes : chaque année, Le port a jauni publiera un recueil de dix quatrains environ (entre neuf et quinze par recueil), classés par thèmes. Après un premier recueil générique publié en septembre 2015 voici un recueil consacré aux bêtes et aux métaphores animales. Walid Taher illustrera cette série de recueils de poèmes avec pour consignes de s’essayer à diverses techniques graphiques, exercice qui lui est très familier et jeu qu’il aime jouer comme il l’a fait dans son album Sept vies (qui donne à voir autant de déclinaisons graphiques qu’il y a d’état d’âmes d’un chat).
Les Roubaiyât de Salah Jahine sont des quatrains à l’image de ceux d’Omar Khayyam : philosophiques, humoristiques, ludiques, ils s’achèvent toujours par une exclamation déconcertée : ‘agabî ! (que l’on pourrait traduire par « bizarre, bizarre !», ou encore « étonnant, non ? «). Les poèmes sont écrits en dialecte égyptien et jouent avec toute la truculence de cette langue populaire. Ces quatrains sont une méditation sur la vie, la mort, la joie, le temps qui passe, l’innocence, l’absurdité du monde, sa fatalité, son origine, sa raison d’être et de tourner, la cruauté...
L’oeuvre de Salah Jahine est prolifique puisqu’il a écrit plus de 240 roubaiyat qui peuvent être classées par thèmes : chaque année, Le port a jauni publiera un recueil de dix quatrains environ (entre neuf et quinze par recueil), classés par thèmes. Après un premier recueil générique publié en septembre 2015 voici un recueil consacré aux bêtes et aux métaphores animales. Walid Taher illustrera cette série de recueils de poèmes avec pour consignes de s’essayer à diverses techniques graphiques, exercice qui lui est très familier et jeu qu’il aime jouer comme il l’a fait dans son album Sept vies (qui donne à voir autant de déclinaisons graphiques qu’il y a d’état d’âmes d’un chat).