Céline Delavaux a rédigé une thèse de doctorat sur Dubuffet et l'art brut, les enjeux d'un discours.
Philippe Hérard. Un jour un carton - 17 mars / 11 mai 2020
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- Nombre de pages96
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids0.98 kg
- Dimensions29,7 cm × 29,7 cm × 1,5 cm
- ISBN979-10-97502-44-7
- EAN9791097502447
- Date de parution24/09/2020
- CollectionStreet Art
- ÉditeurOmniscience
Résumé
Du 17 mars au 11 mai 2020, Philippe Hérard se confine comme beaucoup. Cette période est pour lui une source d'inspiration sans limite. Son projet prend forme, naturellement : réaliser une oeuvre sur carton par jour. Au rythme de notre isolement, il nous guide alors dans les arcanes de la vie, sans en contourner nécessairement les impasses, captant le temps que nous avons enfin accepté de mettre en suspens.
Tout en subtilité, il nous conte ces moments où nous nous sommes tous retrouvés face à nous-mêmes, face à nos paradoxes. En 55 + 1 cartons, l'artiste explore l'infinie complexité de nos intimités mises à nu. "L'homme du commun déconcerté de Philippe Hérard réussit, par le dessin et la peinture, à incarner une altitude commune, partagée, au point de nous rappeler jusqu'à la sensation physique de notre rapport au monde quand il confine à l'absurde." (Céline Delavaux)
Tout en subtilité, il nous conte ces moments où nous nous sommes tous retrouvés face à nous-mêmes, face à nos paradoxes. En 55 + 1 cartons, l'artiste explore l'infinie complexité de nos intimités mises à nu. "L'homme du commun déconcerté de Philippe Hérard réussit, par le dessin et la peinture, à incarner une altitude commune, partagée, au point de nous rappeler jusqu'à la sensation physique de notre rapport au monde quand il confine à l'absurde." (Céline Delavaux)
Du 17 mars au 11 mai 2020, Philippe Hérard se confine comme beaucoup. Cette période est pour lui une source d'inspiration sans limite. Son projet prend forme, naturellement : réaliser une oeuvre sur carton par jour. Au rythme de notre isolement, il nous guide alors dans les arcanes de la vie, sans en contourner nécessairement les impasses, captant le temps que nous avons enfin accepté de mettre en suspens.
Tout en subtilité, il nous conte ces moments où nous nous sommes tous retrouvés face à nous-mêmes, face à nos paradoxes. En 55 + 1 cartons, l'artiste explore l'infinie complexité de nos intimités mises à nu. "L'homme du commun déconcerté de Philippe Hérard réussit, par le dessin et la peinture, à incarner une altitude commune, partagée, au point de nous rappeler jusqu'à la sensation physique de notre rapport au monde quand il confine à l'absurde." (Céline Delavaux)
Tout en subtilité, il nous conte ces moments où nous nous sommes tous retrouvés face à nous-mêmes, face à nos paradoxes. En 55 + 1 cartons, l'artiste explore l'infinie complexité de nos intimités mises à nu. "L'homme du commun déconcerté de Philippe Hérard réussit, par le dessin et la peinture, à incarner une altitude commune, partagée, au point de nous rappeler jusqu'à la sensation physique de notre rapport au monde quand il confine à l'absurde." (Céline Delavaux)