Peuples autochtones et intégrations régionales. Pour une durabilité repensée des ressources naturelles et de la biodiversité ?

Par : Nathalie Hervé-Fournereau, Sophie Thériault
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages444
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.772 kg
  • Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 3,3 cm
  • ISBN978-2-7535-7941-5
  • EAN9782753579415
  • Date de parution10/09/2020
  • CollectionL'univers des normes
  • ÉditeurPU Rennes
  • PréfacierIrène Bellier

Résumé

"Pour nous, peuples indigènes, le monde est en guerre. L'être humain est en guerre contre lui-même. Et en guerre contre la nature, il lutte contre sa propre Mère [... ] c'est le devoir de tous de prendre soin du monde". Ce véhément plaidoyer des Indiens du Nordeste du Brésil résonne avec gravité dans l'hémicycle du Parlement européen en 2008 et conserve toute son actualité en 2020. Si la sphère onusienne a servi d'enceinte primordiale à la reconnaissance des droits des peuples autochtones, d'autres espaces et organisations sont aussi indispensables.
Le présent ouvrage propose d'apprécier la contribution bigarrée d'un vaste écosystème d'intégrations régionales en faveur de la protection des territoires ancestraux des peuples autochtones. L'ouvrage dévoile les multiples facettes de ces interactions sans dissimuler les ombres portées sur la fabrique et la traduction normative plurielle de ces dynamiques, à l'image de la multiplication des conflits socio-environnementaux.
Autant d'horizons stimulants que l'ouvrage invite à découvrir dans la perspective d'une durabilité repensée des ressources naturelles et de la biodiversité.
"Pour nous, peuples indigènes, le monde est en guerre. L'être humain est en guerre contre lui-même. Et en guerre contre la nature, il lutte contre sa propre Mère [... ] c'est le devoir de tous de prendre soin du monde". Ce véhément plaidoyer des Indiens du Nordeste du Brésil résonne avec gravité dans l'hémicycle du Parlement européen en 2008 et conserve toute son actualité en 2020. Si la sphère onusienne a servi d'enceinte primordiale à la reconnaissance des droits des peuples autochtones, d'autres espaces et organisations sont aussi indispensables.
Le présent ouvrage propose d'apprécier la contribution bigarrée d'un vaste écosystème d'intégrations régionales en faveur de la protection des territoires ancestraux des peuples autochtones. L'ouvrage dévoile les multiples facettes de ces interactions sans dissimuler les ombres portées sur la fabrique et la traduction normative plurielle de ces dynamiques, à l'image de la multiplication des conflits socio-environnementaux.
Autant d'horizons stimulants que l'ouvrage invite à découvrir dans la perspective d'une durabilité repensée des ressources naturelles et de la biodiversité.