Petite histoire de l'orthographe française
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- Nombre de pages88
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.109 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-8031-0454-3
- EAN9782803104543
- Date de parution01/03/2015
- CollectionL'Académie en poche
- ÉditeurAcadémie Royale de Belgique
Résumé
Dans l'histoire du langage, l'écriture arrive en second et se règle donc sur la prononciation. Pour qu'elle soit dite "phonétique", il suffit qu'à chaque phonème corresponde un seul et même graphème. L'idéal. Quasi réalisé en latin, approché en italien et en espagnol, mais largement inaccessible en français. Pourquoi ? La cause essentielle tient à l'accroissement du nombre de phonèmes sans augmentation concomitante du nombre de graphèmes.
S'ajoutent, au Moyen Age, le souci ornemental d'étoffer les mots trop courts et, à la Renaissance, des préoccupations étymologiques d'érudits (parfois mal informés). C'est aussi au XVIe siècle qu'apparaissent les premières velléités de réformes. Les volumes successifs du Dictionnaire de l'Académie auront beau adopter quelques propositions simplificatrices, elles se raréfient d'une édition à l'autre, surtout à partir de l'enseignement obligatoire, dont l'orthographe devient le fer de lance.
La dernière tentative en date remonte à 1990. Ses allures de croisade valent qu'on s'y attarde.
S'ajoutent, au Moyen Age, le souci ornemental d'étoffer les mots trop courts et, à la Renaissance, des préoccupations étymologiques d'érudits (parfois mal informés). C'est aussi au XVIe siècle qu'apparaissent les premières velléités de réformes. Les volumes successifs du Dictionnaire de l'Académie auront beau adopter quelques propositions simplificatrices, elles se raréfient d'une édition à l'autre, surtout à partir de l'enseignement obligatoire, dont l'orthographe devient le fer de lance.
La dernière tentative en date remonte à 1990. Ses allures de croisade valent qu'on s'y attarde.
Dans l'histoire du langage, l'écriture arrive en second et se règle donc sur la prononciation. Pour qu'elle soit dite "phonétique", il suffit qu'à chaque phonème corresponde un seul et même graphème. L'idéal. Quasi réalisé en latin, approché en italien et en espagnol, mais largement inaccessible en français. Pourquoi ? La cause essentielle tient à l'accroissement du nombre de phonèmes sans augmentation concomitante du nombre de graphèmes.
S'ajoutent, au Moyen Age, le souci ornemental d'étoffer les mots trop courts et, à la Renaissance, des préoccupations étymologiques d'érudits (parfois mal informés). C'est aussi au XVIe siècle qu'apparaissent les premières velléités de réformes. Les volumes successifs du Dictionnaire de l'Académie auront beau adopter quelques propositions simplificatrices, elles se raréfient d'une édition à l'autre, surtout à partir de l'enseignement obligatoire, dont l'orthographe devient le fer de lance.
La dernière tentative en date remonte à 1990. Ses allures de croisade valent qu'on s'y attarde.
S'ajoutent, au Moyen Age, le souci ornemental d'étoffer les mots trop courts et, à la Renaissance, des préoccupations étymologiques d'érudits (parfois mal informés). C'est aussi au XVIe siècle qu'apparaissent les premières velléités de réformes. Les volumes successifs du Dictionnaire de l'Académie auront beau adopter quelques propositions simplificatrices, elles se raréfient d'une édition à l'autre, surtout à partir de l'enseignement obligatoire, dont l'orthographe devient le fer de lance.
La dernière tentative en date remonte à 1990. Ses allures de croisade valent qu'on s'y attarde.