Petit mémoire pour une campagne électorale ; Correspondance ; Astronomiques ; Discours "in toga candida" ; Correspondance

Par : Cicéron, Quintus Tullius Cicéron

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  • Nombre de pages645
  • PrésentationBroché
  • Poids0.6 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 3,6 cm
  • ISBN978-2-251-74216-8
  • EAN9782251742168
  • Date de parution31/05/2016
  • CollectionFragments
  • ÉditeurBelles Lettres
  • TraducteurAntoine Sidoti
  • TraducteurChristian Cheminade

Résumé

Le grand Cicéron avait un frère, Quintus, demeuré trop souvent ignoré ou mésestimé, dans l'ombre de son brillant aîné. Il fut pourtant un témoin privilégié et un acteur représentatif de l'époque dramatique à laquelle il vécut, avant d'être assassiné, à l'instar de son frère, par les sicaires d'Antoine. On conserve essentiellement de lui le fameux Commentariolum petitionis. Dans cette longue lettre adressée à son frère Marcus qui briguait le consulat, Quintus entreprend d'évaluer ses chances, de recenser ses forces, et lui rappelle toutes les démarches à effectuer, tous les engagements à prendre, toutes les postures à adopter, tous les propos à tenir pour séduire les électeurs et remporter leurs suffrages.
Ces quelques pages vieilles de plus de vingt siècles ont survécu nimbées de la sulfureuse réputation d'un "Guide antique à l'usage des politiciens modernes". On les a lues comme un traité, à la fois intemporel et actuel, efficace et cynique, de "l'art de conquérir des voix" ou de "l'art de la démagogie". Il a semblé opportun d'engager ici la révision de ce procès d'intention fait à Quintus, en replaçant cet opuscule dans son contexte institutionnel et politique, et sa traduction dans un ensemble de textes relatifs à la candidature et à l'élection de Cicéron.
Ce Commentariolum n'est pas l'unique témoignage survivant de l'activité littéraire de Quintus, qui fut, comme son aîné, un homme de plume aux ambitions multiples : dramaturge, historien, épistolier et poète. Le peu qu'il reste de son oeuvre nous a semblé mériter d'être présenté au lecteur moderne dans ce volume.
Le grand Cicéron avait un frère, Quintus, demeuré trop souvent ignoré ou mésestimé, dans l'ombre de son brillant aîné. Il fut pourtant un témoin privilégié et un acteur représentatif de l'époque dramatique à laquelle il vécut, avant d'être assassiné, à l'instar de son frère, par les sicaires d'Antoine. On conserve essentiellement de lui le fameux Commentariolum petitionis. Dans cette longue lettre adressée à son frère Marcus qui briguait le consulat, Quintus entreprend d'évaluer ses chances, de recenser ses forces, et lui rappelle toutes les démarches à effectuer, tous les engagements à prendre, toutes les postures à adopter, tous les propos à tenir pour séduire les électeurs et remporter leurs suffrages.
Ces quelques pages vieilles de plus de vingt siècles ont survécu nimbées de la sulfureuse réputation d'un "Guide antique à l'usage des politiciens modernes". On les a lues comme un traité, à la fois intemporel et actuel, efficace et cynique, de "l'art de conquérir des voix" ou de "l'art de la démagogie". Il a semblé opportun d'engager ici la révision de ce procès d'intention fait à Quintus, en replaçant cet opuscule dans son contexte institutionnel et politique, et sa traduction dans un ensemble de textes relatifs à la candidature et à l'élection de Cicéron.
Ce Commentariolum n'est pas l'unique témoignage survivant de l'activité littéraire de Quintus, qui fut, comme son aîné, un homme de plume aux ambitions multiples : dramaturge, historien, épistolier et poète. Le peu qu'il reste de son oeuvre nous a semblé mériter d'être présenté au lecteur moderne dans ce volume.
Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
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