Petit enfer de Turin. Feuilles dispersées, restaurées
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- Nombre de pages141
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.195 kg
- Dimensions13,8 cm × 17,2 cm × 1,5 cm
- ISBN979-10-91902-38-0
- EAN9791091902380
- Date de parution17/01/2018
- ÉditeurFario (Editions)
- TraducteurAngela Guidi
- TraducteurVera Milan-Primevère
Résumé
Le piéton de Turin qui flâne en quête de ruines et raconte sa ville, avec humour et non sans nostalgie, ne cultive pas une manie d'écrivain local : si ses regards et ses pensées sont des flèches, l'archer a toujours en vue deux cibles rares désormais dans ces mégapoles que l'on prétend encore civilisées : la beauté du monde et la dignité de l'âme, du moins ce qu'il en reste à l'heure des foules administrées et des sensibilités délabrées.
Je ne suis pas un déraciné : tout simplement, je n'ai pas de racines. Tout simulacre d'enracinement qui n'est ni métaphysique, ni métabiologique, ni métatemporel, je le rejette, je le vomis... L'unique vérité qui m'éclaire, qui me donne de l'espoir est Je est un autre... Je baise ton sol, Jérusathènes. G. C.
Je ne suis pas un déraciné : tout simplement, je n'ai pas de racines. Tout simulacre d'enracinement qui n'est ni métaphysique, ni métabiologique, ni métatemporel, je le rejette, je le vomis... L'unique vérité qui m'éclaire, qui me donne de l'espoir est Je est un autre... Je baise ton sol, Jérusathènes. G. C.
Le piéton de Turin qui flâne en quête de ruines et raconte sa ville, avec humour et non sans nostalgie, ne cultive pas une manie d'écrivain local : si ses regards et ses pensées sont des flèches, l'archer a toujours en vue deux cibles rares désormais dans ces mégapoles que l'on prétend encore civilisées : la beauté du monde et la dignité de l'âme, du moins ce qu'il en reste à l'heure des foules administrées et des sensibilités délabrées.
Je ne suis pas un déraciné : tout simplement, je n'ai pas de racines. Tout simulacre d'enracinement qui n'est ni métaphysique, ni métabiologique, ni métatemporel, je le rejette, je le vomis... L'unique vérité qui m'éclaire, qui me donne de l'espoir est Je est un autre... Je baise ton sol, Jérusathènes. G. C.
Je ne suis pas un déraciné : tout simplement, je n'ai pas de racines. Tout simulacre d'enracinement qui n'est ni métaphysique, ni métabiologique, ni métatemporel, je le rejette, je le vomis... L'unique vérité qui m'éclaire, qui me donne de l'espoir est Je est un autre... Je baise ton sol, Jérusathènes. G. C.