Petit bréviaire de la gourmandise
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- Nombre de pages44
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.044 kg
- Dimensions12,0 cm × 15,5 cm × 0,4 cm
- ISBN978-2-37020-057-0
- EAN9782370200570
- Date de parution24/09/2015
- ÉditeurBerg International
Résumé
Dans ce Petit bréviaire de la gourmandise, qui devient très vite une histoire de la goinfrerie, Laurent Tailhade (1854-1919) nous décrit avec brio et humour les relations que les privilégiés, de l'Antiquité au xixe siècle, ont entretenues avec la nourriture. « Mais la cuisine, ce premier des arts, maître de l'univers, écrit-il, n'a pas en tout temps reluit d'une même splendeur. II a connu des jours d'éclipse et de revers. »La décadence de l'art culinaire, dont il fait le constat, reste d'une actualité confondante : « Les Parisiens, en effet, et surtout les Parisiennes, mangent d'abord avec les yeux, ce qui fait que l'on tend, de plus en plus, à remplacer par le décor toute espèce d'aliments.
Les fleurs sur la nappe compensent le beurre suspect et le gibier douteux... »
Les fleurs sur la nappe compensent le beurre suspect et le gibier douteux... »
Dans ce Petit bréviaire de la gourmandise, qui devient très vite une histoire de la goinfrerie, Laurent Tailhade (1854-1919) nous décrit avec brio et humour les relations que les privilégiés, de l'Antiquité au xixe siècle, ont entretenues avec la nourriture. « Mais la cuisine, ce premier des arts, maître de l'univers, écrit-il, n'a pas en tout temps reluit d'une même splendeur. II a connu des jours d'éclipse et de revers. »La décadence de l'art culinaire, dont il fait le constat, reste d'une actualité confondante : « Les Parisiens, en effet, et surtout les Parisiennes, mangent d'abord avec les yeux, ce qui fait que l'on tend, de plus en plus, à remplacer par le décor toute espèce d'aliments.
Les fleurs sur la nappe compensent le beurre suspect et le gibier douteux... »
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