Petit bourg

Par : Jian Yu
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  • Nombre de pages70
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.395 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-35128-110-9
  • EAN9782351281109
  • Date de parution17/09/2015
  • ÉditeurVoix d'encre
  • TraducteurJie Fu
  • TraducteurClaude Mouchard
  • IllustrateurEstelle Servier Crouzat

Résumé

Le long poème de Yu Jian " Xiao zhen " (Petit bourg) traduit avec l'aide de Claude Mouchard est le fruit d'un séjour du poète durant deux semaines en 2007 au Vermont Studio Center, une résidence internationale qui accueille écrivains et artistes dans un petit bourg au nord des Etats-Unis. Les Etats-Unis, pour beaucoup de Chinois sont un symbole de richesse et de liberté. Ils étaient une légende, un rêve fabuleux pendant la période où la Chine était coupée du monde.
Bien que Yu Jian y soit déjà allé deux fois avant ce voyage, bien que la Chine ait grandement changé, son rêve d'enfance reste dans son coeur. Il nous raconte qu'un poète chinois a atterri dans une petite ville américaine. Ce poète ne parle pas l'anglais, mais il observe avec passion cette vie américaine, calme, paisible, tranquille comme un long fleuve sans le moindre remous. Cependant, voici qu'il soupire : oh ce pays est beau, mais ce n'est pas le mien.
C'est que, dans ce pays étranger, il est en proie à une certaine nostalgie ; au présent américain se mêlent des souvenirs de la vie quotidienne chinoise et des inquiétudes pour son pays natal. Tout cela est amplement dit dans une langue chinoise claire, simple en même temps que lyrique et pleine d'humour. Yu Jian s'est exprimé ainsi dans un article consacré à son séjour : Je scelle ma langue, j'ai l'impression d'être un animal silencieux, un fauve dans la jungle, je ne parle pas, j'observe, on m'a demandé si les histoires que j'ai racontées dans Petit bourg sont des histoires dites et entendues, mais non, je n'entendais rien, je les ai vues.
Fu Jie
Le long poème de Yu Jian " Xiao zhen " (Petit bourg) traduit avec l'aide de Claude Mouchard est le fruit d'un séjour du poète durant deux semaines en 2007 au Vermont Studio Center, une résidence internationale qui accueille écrivains et artistes dans un petit bourg au nord des Etats-Unis. Les Etats-Unis, pour beaucoup de Chinois sont un symbole de richesse et de liberté. Ils étaient une légende, un rêve fabuleux pendant la période où la Chine était coupée du monde.
Bien que Yu Jian y soit déjà allé deux fois avant ce voyage, bien que la Chine ait grandement changé, son rêve d'enfance reste dans son coeur. Il nous raconte qu'un poète chinois a atterri dans une petite ville américaine. Ce poète ne parle pas l'anglais, mais il observe avec passion cette vie américaine, calme, paisible, tranquille comme un long fleuve sans le moindre remous. Cependant, voici qu'il soupire : oh ce pays est beau, mais ce n'est pas le mien.
C'est que, dans ce pays étranger, il est en proie à une certaine nostalgie ; au présent américain se mêlent des souvenirs de la vie quotidienne chinoise et des inquiétudes pour son pays natal. Tout cela est amplement dit dans une langue chinoise claire, simple en même temps que lyrique et pleine d'humour. Yu Jian s'est exprimé ainsi dans un article consacré à son séjour : Je scelle ma langue, j'ai l'impression d'être un animal silencieux, un fauve dans la jungle, je ne parle pas, j'observe, on m'a demandé si les histoires que j'ai racontées dans Petit bourg sont des histoires dites et entendues, mais non, je n'entendais rien, je les ai vues.
Fu Jie
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